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Critique de OverTheMoonWithBooks
Le carrosse de Marie-Antoinette d'Autriche se rend en France, à Versailles plus précisément, où elle doit retrouver le daupin de France à qui elle est promise. Elle voyage avec Albert, son frère jumeau, qui doit jouer le rôle de sa doublure. Un élément étrange qui pourrait être anecdotique si le carosse n'était pas attaqué par une horde de zombies. Et visiblement, ces derniers préfèrent la chair de reine à celle de la doublure... Heureusement, la doublure est là pour sauver les apparences et éviter l'incident diplomatique. Là aussi, tout cela pourrait passer inaperçue, mais l'histoire se passe à la cour de France avant la Révolution (les intrigues vont donc bon train) et les évènements étranges se multiplient...
L'ambiance est très sombre, d'autant plus que plusieurs scènes ont lieu de nuit ou bien en huis clos. En revanche les scènes "publiques" où seul compte le paraître sont plus lumineuses et offre un petit contraste reposant, avec des arrière-plans assez travailler pour planter le décor France du XVIIIème (que ce soit au niveau de l'architecture ou des costumes). Donc, niveau atmosphère, on a vite compris que eux qui cherchent de la légèreté ou de la pure comédie sont priés de passer leur chemin.
Autant l'avouer, les histoires de zombies, c'est pas mon délire, donc s'il n'y avait pas eu l'arrière-plan historique je n'aurais sans doute pas fait l'effort de le lire. Maiss, finalement, ce que je pensais être une farce grotesque qui par son outrance serait devenue comique ne l'est pas tant que ça.
En effet, on comprend assez vite que ce "mal" des revenants ne touche que les personnes issues tu tiers-état, cet état de "morts-vivants" précise-t-on leur permet de ne connaître ni le froid ni la maladie ni la tristesse, et le fait que pour les mettre hors d'état de nuire il n'y a qu'un moyen: leur couper la tête... Tout cela rappelle tristement certaines réalités du quotidien de la majorité des Français au XVIIIème.
Les aspects complot "ésotérique" et intrigues de cour avec des personnages menés par des ambitions diverses et variées les rendant indifférents voire même cruels avec leurs prochains sont autant d'éléments semés par le mangaka qui donnent du relief à l'histoire et donnent assez de curiosité au lecteur pour se dire : allez, la suite !
L'ambiance est très sombre, d'autant plus que plusieurs scènes ont lieu de nuit ou bien en huis clos. En revanche les scènes "publiques" où seul compte le paraître sont plus lumineuses et offre un petit contraste reposant, avec des arrière-plans assez travailler pour planter le décor France du XVIIIème (que ce soit au niveau de l'architecture ou des costumes). Donc, niveau atmosphère, on a vite compris que eux qui cherchent de la légèreté ou de la pure comédie sont priés de passer leur chemin.
Autant l'avouer, les histoires de zombies, c'est pas mon délire, donc s'il n'y avait pas eu l'arrière-plan historique je n'aurais sans doute pas fait l'effort de le lire. Maiss, finalement, ce que je pensais être une farce grotesque qui par son outrance serait devenue comique ne l'est pas tant que ça.
En effet, on comprend assez vite que ce "mal" des revenants ne touche que les personnes issues tu tiers-état, cet état de "morts-vivants" précise-t-on leur permet de ne connaître ni le froid ni la maladie ni la tristesse, et le fait que pour les mettre hors d'état de nuire il n'y a qu'un moyen: leur couper la tête... Tout cela rappelle tristement certaines réalités du quotidien de la majorité des Français au XVIIIème.
Les aspects complot "ésotérique" et intrigues de cour avec des personnages menés par des ambitions diverses et variées les rendant indifférents voire même cruels avec leurs prochains sont autant d'éléments semés par le mangaka qui donnent du relief à l'histoire et donnent assez de curiosité au lecteur pour se dire : allez, la suite !
