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Critique de belette2911


♫ Amos a la playa ♪ Ho Ho Ho ♪ Amos a la playa ♫

Bon, on est loin des plages de sable fin, ici !

Certes, ce n'est plus la neige du premier tome, mais le sable ici, c'est celui du Mexique et il est torride.

La belle gueule d'amour de notre Durango est mise à prix (5.000$) et notre homme, qui s'était vu proposer l'étoile de shérif, est maintenant recherché. Il voudrait donc se faire oublier en Mexique.

♫ Mexico, Mexiiiiiicoooooo… Sous ton soleil qui chante, le temps paraît trop court ♪ Pour goûter au bonheur de chaque jour ♫ Mexico, Mexiiiiiicooo… ♪ Tes femmes sont ardentes ♫

Le voilà de nouveau embarqué dans une sale histoire de révolution lorsqu'il sauve la vie d'Amos, un bandit qui voudrait rendre les peones libres et riches.

Il est à souligner que cette histoire a un petit lien avec la précédente puisque l'on retrouve le shérif véreux Jenkins dont le contact avec Durango est toujours aussi… heu, comment dire ? Haineux ? Oui.

Sans oublier cette putain de compagnie minière américaine qui embauche Logan, un tueur chargé de retrouver Durango et pas pour lui faire des papouilles ou lui rendre son parapluie qu'il aurait oublié la dernière fois au bureau…

Ce vieil album, publié aux éditions des Archers, date de 84 et les couleurs tirent toutes vers le jaune ou l'orangé, ce qui ne rend pas les décors des plus jolis, hélas.

Il faudrait que je vérifie si les coloriages ont été refait dans les nouvelles éditions de Soleil.

Par contre, niveau dessins, Yves Swolf nous les mitonnes aux petits oignons, le trait est fin, propre, détaillé, les personnages sont réalistes, les chevaux aussi, bref, c'est superbement réalisé.

Au menu, comme toujours, de la bagarre, des morts, des magouilles, des gens véreux, des types peu recommandables aux trousses de Durango, des fesses à l'air dans le désert, des têtes mises à prix…

Avec Logan et Jenkins aux trousses de Durango, avec Charlie Siringo, l'agent de la Pinkerton, aux trousses d'Amos, ça risque à un moment donné de faire du grabuge tous ces gens aux trousses de tout le monde.

Et notre Durango est toujours aussi taiseux, aussi froid, aussi beau, loyal, gentleman et il tire presque aussi vite que son ombre à l'aide de son célèbre Mauser M98.

Mais faudra se bouger les fesses parce qu'à la fin de l'album, notre ami est en fâcheuse posture et nous le suivrons en terre mexicaine durant encore 2 albums.

¡ Viva la Revolución !

♫ « Amos » de mis amores ♪ Reina mía, qué me hiciste? ♪ Que no puedo conformarme ♪ Sin poderte contemplar ♫

Lien : https://thecanniballecteur.w..
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