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Critique de CapitaineBapt
Rien ne va plus pour les hommes d'Amos et d'Ortega, après leurs coups d'éclats, l'armée mexicaine et les américains sont à leurs trousses. Amos prend la fuite avec Maximilien, tandis que Durango et Ortega organisent une résistance de leur côté. Mais les choses vont de mal en pis et au terme d'un final grandiose, Durango laissera sur place plus que des regrets...
Un cycle qui se finit tristement et qui laissera une empreinte indélébile sur notre héros, le rendant encore plus amer et désabusé, lui qui avait presque trouvé le bonheur, qui s'était enfin posé. On ferme presque à regret cette saga dans la saga, tant on y trouve l'essence de la série.
Ce cycle est certainement l'apogée de la série, Yves Swolf parvient à donner un souffle nouveau, une direction surprenante dans un classicisme assumé. Toujours aussi lisible, on ne peut que succomber à son charme !
Un cycle qui se finit tristement et qui laissera une empreinte indélébile sur notre héros, le rendant encore plus amer et désabusé, lui qui avait presque trouvé le bonheur, qui s'était enfin posé. On ferme presque à regret cette saga dans la saga, tant on y trouve l'essence de la série.
Ce cycle est certainement l'apogée de la série, Yves Swolf parvient à donner un souffle nouveau, une direction surprenante dans un classicisme assumé. Toujours aussi lisible, on ne peut que succomber à son charme !
