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Critique de AlineMarieP
Le prince de la nuit, c'est en intégrale ou rien. Tout d'abord car je c'est en vacances que je l'ai lu dans la bibliothèque d'amis de mes parents, les 6 d'affilée ou entre deux balades, plusieurs fois. Et quand je l'ai trouvé en intégrale yiha! D'autant plus que l'intégrale de Glenat est en noir et blanc et évite les soucis d'impression des volumes uniques....
Mais je divague. Swolfs signe une cycle vampirique d'exception avec un vrai vampire ( ni brillant, ni gnanan mais mauvais et sexy) bien déterminé à se jouer de la lignée des Rougemont. Et à diverses époque, alors que la France subit des bouleversements politicosociaux, du Moyen-Age jusqu'à la France des années 40, un des héritiers des Rougemont se heurtera au monstre familial. Au final, c'est autant une saga familial qu'un récit fantastique que le trait sûr et inquiétant du génial Swolfs (Gabin en flic parisien et Vanessa Paradis en fiancée morbide, vous auriez oser?) nous livre.
Le vrai défaut? L'annonce de la fin d'un cycle, c'est en supposer un second.. Que l'on attend toujours. Mais bon, si on redémarre, on pardonne.
Mais je divague. Swolfs signe une cycle vampirique d'exception avec un vrai vampire ( ni brillant, ni gnanan mais mauvais et sexy) bien déterminé à se jouer de la lignée des Rougemont. Et à diverses époque, alors que la France subit des bouleversements politicosociaux, du Moyen-Age jusqu'à la France des années 40, un des héritiers des Rougemont se heurtera au monstre familial. Au final, c'est autant une saga familial qu'un récit fantastique que le trait sûr et inquiétant du génial Swolfs (Gabin en flic parisien et Vanessa Paradis en fiancée morbide, vous auriez oser?) nous livre.
Le vrai défaut? L'annonce de la fin d'un cycle, c'est en supposer un second.. Que l'on attend toujours. Mais bon, si on redémarre, on pardonne.
