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Critique de Domichel
2001-2015 ! Il nous aura fallu de la patience Monsieur Swolfs pour attendre le retour de notre vampire préféré !
Mais pendant ce temps, nous avons pu nous plonger avec délices dans cette autre saga superbe qu’est « Légende », dans le même style : fantastique, onirique et maléfique…
Même si le sixième tome du Prince s’achevait sur la disparition (?) flamboyante de Kergan, il subsistait chez les lecteurs assidus dont je suis, un secret espoir de le voir réapparaître dans notre monde ou dans un univers parallèle, car on ne se débarrasse pas comme ça d’un tel démon.
La surprise est donc à la hauteur de l’attente et le plaisir toujours aussi grand. Puisque c’est à la naissance de Kergan que nous assistons dans ce nouvel opus.
Originaire de “Dacie” région située aux confins des Carpates, à l’époque de l’expansion romaine avant notre ère, ce fils de chef de tribu, rejeté par son père, va trouver la clef de son futur destin auprès d’une femme vivant isolée au cœur de la forêt.
Cet album, sous forme de « préquelle »*, est d’une facture exceptionnelle pour le dessin mais là personne n’est surpris, et le scénario, un peu court à mon goût, nous laisse augurer de nouveaux épisodes sans doute plus consistants. Ces retrouvailles sont donc fort bienvenues et la suite, j’espère, ne se fera pas attendre trop longtemps. À très bientôt donc Kergan pour de nouvelles aventures, et encore merci monsieur Swolfs pour ces productions toujours aussi magnifiquement dessinées.
*Je n’aime pas ce mot, j’aurais tendance à lui préférer celui d’“antépisode”, utilisé par nos cousins du Canada français et beaucoup plus parlant.
Mais pendant ce temps, nous avons pu nous plonger avec délices dans cette autre saga superbe qu’est « Légende », dans le même style : fantastique, onirique et maléfique…
Même si le sixième tome du Prince s’achevait sur la disparition (?) flamboyante de Kergan, il subsistait chez les lecteurs assidus dont je suis, un secret espoir de le voir réapparaître dans notre monde ou dans un univers parallèle, car on ne se débarrasse pas comme ça d’un tel démon.
La surprise est donc à la hauteur de l’attente et le plaisir toujours aussi grand. Puisque c’est à la naissance de Kergan que nous assistons dans ce nouvel opus.
Originaire de “Dacie” région située aux confins des Carpates, à l’époque de l’expansion romaine avant notre ère, ce fils de chef de tribu, rejeté par son père, va trouver la clef de son futur destin auprès d’une femme vivant isolée au cœur de la forêt.
Cet album, sous forme de « préquelle »*, est d’une facture exceptionnelle pour le dessin mais là personne n’est surpris, et le scénario, un peu court à mon goût, nous laisse augurer de nouveaux épisodes sans doute plus consistants. Ces retrouvailles sont donc fort bienvenues et la suite, j’espère, ne se fera pas attendre trop longtemps. À très bientôt donc Kergan pour de nouvelles aventures, et encore merci monsieur Swolfs pour ces productions toujours aussi magnifiquement dessinées.
*Je n’aime pas ce mot, j’aurais tendance à lui préférer celui d’“antépisode”, utilisé par nos cousins du Canada français et beaucoup plus parlant.
