Vers la fin de sa vie, Goscinny pensait qu'il baissait. C'est faux. En partie, du moins, quand on redécouvre les premières aventures d'Iznogoud.
C'est vrai qu'il s'agissait souvent des meilleures. Celles-ci font partie du best-of. Elles parlent d'échanges d'apparences, de magie sans queue ni tête, et surtout d'homme préhistorique. Aucun délire ne va trop loin, c'en est presque frustrant. le dessin n'est pas encore tout à fait parfait chez Tabary, mais ça viendra vite...
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