AccueilMes livresAjouter des livres
Découvrir
LivresAuteursLecteursCritiquesCitationsListesQuizGroupesQuestionsPrix BabelioRencontresLe Carnet
>

Critique de HORUSFONCK


Au pays des mille-et-une nuits,Goscinny pouvait lâcher son imagination fertile dans des situations absurdes et magiques agrémentées (que dis-je? truffées!) de calembours soignés...pour le plus grand bonheur des lecteurs.
Iznogoud allait ainsi son chemin hargneux et éternellement recommencé vers son obsession maladive et colérique: devenir calife à la place du calife. Une quête sans fin, menée avec son homme de main Dilat Laraht.
Le bon Calife Haroun el Poussah, lui, reste débonnaire et confiant dans ce grand vizir irascible et obsédé du "carnet de pal".
Il en fallait, du talent et de l'imagination pour renouveler autant de fois le thème des moyens utilisés par Iznogoud dans sa quête éperdue d'un pouvoir qu'il entend ravir au débonnaire Calife.
Heureusement, dans ce monde des mille-et-une-nuit, le calife possède une énergie hors du commun: la force d'inertie.
Les aventures d'Iznogoud sont à lire dans un but unique de plaisir gourmand et de délassement total. Rien n'y arrive de cruel ni de bien méchant, et le vizir reste toujours sur sa faim de califat, toujours prêt à recommencer à l'épisode suivant!
Et, tranquillement, en douce et mine de rien, des messages passent dans les aventures du grand vizir et de son bienheureux calife.
Commenter  J’apprécie          232



Ont apprécié cette critique (21)voir plus




{* *}