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Critique de Sachan
Avec ce dixième tome de Rinne, on reprend directement là ou l'on s'était arrêté précédemment : Ageha qui est au pied du mur et en danger face au fantôme mangouste, sans oublier Oboro qui refuse de l'aider, pour ne pas dire qu'il lui met des bâtons dans les roues.
Je trouvais ça intéressant d'avoir un semble d'intrigue sur une plus longue durée mais au final ce n'était qu'un faux espoir, on retombe dans le moule de la série avec des chapitres indépendants qui s'enchaînent. Même si on revient des visages connus, je suis tout de même déçue que Rumiko Takahashi ne se lance pas dans quelque chose de plus ambitieux, une histoire plus complexe et stable.
La romance est totalement inexistante pour cet opus, c'est avant tout le concept de confiance et de partenariat qui est mis en avant. Les duo shinigamis et chat noir sont chose courante, mais totalement impossible s'ils ne s'entendent pas et s'entraide. L'exemple Oboro-Ageha est assez intéressant de ce point de vue, car même s'ils ne cessent de se disputer, on voit qu'ils tiennent l'un à l'autre, qu'ils ont un passé commun et une volonté commune de rester ensemble.
Ce volume reste sur ses acquis, une suite logique des aventures de Rinne et donc sans grandes surprises. Il y a bien entendu beaucoup d'humour et le folklore japonais continue de se dévoiler à travers les différentes âmes égarées. Pourtant je sens que la mangaka pourrait pousser les choses plus loin et je ressens une certaine lassitude s'installer.
Je trouvais ça intéressant d'avoir un semble d'intrigue sur une plus longue durée mais au final ce n'était qu'un faux espoir, on retombe dans le moule de la série avec des chapitres indépendants qui s'enchaînent. Même si on revient des visages connus, je suis tout de même déçue que Rumiko Takahashi ne se lance pas dans quelque chose de plus ambitieux, une histoire plus complexe et stable.
La romance est totalement inexistante pour cet opus, c'est avant tout le concept de confiance et de partenariat qui est mis en avant. Les duo shinigamis et chat noir sont chose courante, mais totalement impossible s'ils ne s'entendent pas et s'entraide. L'exemple Oboro-Ageha est assez intéressant de ce point de vue, car même s'ils ne cessent de se disputer, on voit qu'ils tiennent l'un à l'autre, qu'ils ont un passé commun et une volonté commune de rester ensemble.
Ce volume reste sur ses acquis, une suite logique des aventures de Rinne et donc sans grandes surprises. Il y a bien entendu beaucoup d'humour et le folklore japonais continue de se dévoiler à travers les différentes âmes égarées. Pourtant je sens que la mangaka pourrait pousser les choses plus loin et je ressens une certaine lassitude s'installer.
