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Critique de MllePeregrine
Masse critique "littératures de l'imaginaire".
Novembre 2012.
Quand j'ai commencé le premier volume de la série "Thomas Passe-mondes", j'ai eu un peu peur d'une inévitable comparaison avec Harry Potter. En effet, on trouve plusieurs similitudes: le jeune héros Thomas, orphelin, ignore, au début du livre, les pouvoirs dont il est le détenteur. C'est pas hasard qu'il se retrouve dans un monde parallèle qui se révèle être son monde d'origine. Là, il devient élève d'une école qui lui apprend à exploiter au mieux ses pouvoirs...
Et puis après quelques pages, je décide de cesser de comparer, après tout il n'y a pas qu'Harry Potter dans la vie et il faut bien laisser sa chance aux autres auteurs!
Je me prends donc au jeu de Dardéa et je dois avouer que la sauce prend plutôt bien! L'univers créé par Eric Tasset est foisonnant de belles trouvailles, l'intrigue, si elle n'échappe pas à quelques facilités par-ci par-là, est intéressante et c'est toujours avec plaisir qu'après ma journée j'ouvre le livre pour retrouver des personnages sympathiques.
Et puis comme je veux savoir la suite évidemment, il va me falloir me procurer...les 5 tomes suivants!
Bon, voilà que j'ai attrapé le tic d'Eric Tasset...petite ombre de rien du tout dans le style d'écriture, mais qui a tout de même le don de m'agacer:
L'auteur laisse très voire trop souvent ses phrases en suspens pour les terminer par une exclamation.
Exemple:
"Il s'était contenté d'esquiver la charge de l'un de ses poursuivants...avant de se retrouver là-haut!"
"Les fleurs se mirent à...chanter!"
Un tic de langage quelque peu agaçant quand il réapparaît plusieurs fois par page mais qui heureusement ne gâche pas le plaisir de lecture !
Merci aux Editions Primento pour l'envoi du livre et à Babelio pour m'avoir permis de découvrir cette série que je ne connaissais pas du tout auparavant!
Novembre 2012.
Quand j'ai commencé le premier volume de la série "Thomas Passe-mondes", j'ai eu un peu peur d'une inévitable comparaison avec Harry Potter. En effet, on trouve plusieurs similitudes: le jeune héros Thomas, orphelin, ignore, au début du livre, les pouvoirs dont il est le détenteur. C'est pas hasard qu'il se retrouve dans un monde parallèle qui se révèle être son monde d'origine. Là, il devient élève d'une école qui lui apprend à exploiter au mieux ses pouvoirs...
Et puis après quelques pages, je décide de cesser de comparer, après tout il n'y a pas qu'Harry Potter dans la vie et il faut bien laisser sa chance aux autres auteurs!
Je me prends donc au jeu de Dardéa et je dois avouer que la sauce prend plutôt bien! L'univers créé par Eric Tasset est foisonnant de belles trouvailles, l'intrigue, si elle n'échappe pas à quelques facilités par-ci par-là, est intéressante et c'est toujours avec plaisir qu'après ma journée j'ouvre le livre pour retrouver des personnages sympathiques.
Et puis comme je veux savoir la suite évidemment, il va me falloir me procurer...les 5 tomes suivants!
Bon, voilà que j'ai attrapé le tic d'Eric Tasset...petite ombre de rien du tout dans le style d'écriture, mais qui a tout de même le don de m'agacer:
L'auteur laisse très voire trop souvent ses phrases en suspens pour les terminer par une exclamation.
Exemple:
"Il s'était contenté d'esquiver la charge de l'un de ses poursuivants...avant de se retrouver là-haut!"
"Les fleurs se mirent à...chanter!"
Un tic de langage quelque peu agaçant quand il réapparaît plusieurs fois par page mais qui heureusement ne gâche pas le plaisir de lecture !
Merci aux Editions Primento pour l'envoi du livre et à Babelio pour m'avoir permis de découvrir cette série que je ne connaissais pas du tout auparavant!
