Nuria vient d'enterrer sa mère, elle ne l'avait pas vu depuis huit ans. Elle n'est pas triste, elles ne s'étaient vraiment jamais connues comme mère et fille. A l'enterrement, avec Abel, un compagnon de passage rencontré la veille au soir, elle entreprend de reconstituer la vie de sa génitrice en discutant avec les personnes proches qui l'avaient connues.
Un livre étonnant où la poésie libre afflue de temps en temps, de belles réflexions philosophiques sur l'amour, l'amitié, le désir. Un bon premier roman.
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