C'est parfois cru, parfois cruel, parfois drôle, souvent plaisant.
Cela parle de désirs, de confiance aussi. La sultane ne s'aime pas, elle se venge sur les hommes. Mais vient Azad. Azad sait raconter, sait caresser et décupler les sens. Chaque nuit, les corps vibrent et les mots dansent (certains contes m'ont laissée un peu sur la rive) et lentement se dessine une histoire plus grande qui véhicule mine de rien des idées pas bêtes sur l'amour.
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