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Critique de Pivoine57
J'ai vu passer ce roman sur la page d'un groupe, ai trouvé la présentation amusante, et les deux premiers chapitres parcourus m'ont donné envie de le lire. Je me doutais que ce serait un roman sans prétention, une "romance", donc parfaitement irréaliste, mais peu importe, en janvier, on peut se distraire... je ne vais pas tout résumer, mais plutôt donner mon avis.
J'ai bien aimé:
Alors, pour une édition de type +/- auto édition, le style est plus qu'acceptable. Je ne suis pas arrêtée à chaque faute de français. Il n'y en a quasiment pas.
Ensuite le style est alerte, gai, moderne et il y a beaucoup d'humour.
Puis les personnages. Raphaël est évidemment très séduisant, on se dit qu'à la place d'Elliott, on n'hésiterait pas une minute, mais évidemment, il n'y aurait pas de roman alors. Il faut que les deux personnages inexorablement attirés l'un par l'autre se découvent eux-mêmes et se dépatouillent de leurs situations respectives. C'est surtout vrai pour Elliott qui sans jouer, n'arrive pas à choisir l'un ou l'autre. Raphaël est plutôt clair dans ses sentiments (et fonceur) mais lui est célibataire. Et estime avoir le droit de tenter sa chance.
Alors, parce que tout de même, Raphaël est le patron d'une boîte de communication, on peut supposer que ses collaborateurs sont cools, mais... est-ce si facile? Ça a l'air de couler de source et je ne sais pas si ça coule de source... mais je ne peux pas spoiler.
Puis Elliott a été mis à la porte de ses parents à dix-sept ans, ce qui est très cruel. (Mais quels parents font ça? Bref) c'est pour cela qu'il est si attaché à son ex, Hugo, le troisième personnage du triangle amoureux. Et qui plus est sympathique. Puisque Hugo l'a pris à sa charge.
Donc, voilà le ton général, alors oui, c'est cru par moments, mais ça semble faire partie du genre (les romances actuelles, certaines sont plus crues que d'autres ou moins...) enfin, le côté vraiment sympathique des personnages rend cette romance agréable à lire. Je ne sais pas comment sont les autres romans de l'autrice, on verra...
Cela a un petit côté Marivaux, version 2018, car tout est dans les dialogues... et les confidences des uns aux autres... et la relation délicate patron/collaborateur, c'est un thème déjà abordé dans certains romans, Objet de toutes les convoitises, de Françoise Bourdin, et dans un roman "anglais", très mince, de Jay Northcote.
J'aurais peut-être cherché un autre titre que e-Dyllique, mais bon, ici, je cherche vraiment la petite bête ;-)
J'ai bien aimé:
Alors, pour une édition de type +/- auto édition, le style est plus qu'acceptable. Je ne suis pas arrêtée à chaque faute de français. Il n'y en a quasiment pas.
Ensuite le style est alerte, gai, moderne et il y a beaucoup d'humour.
Puis les personnages. Raphaël est évidemment très séduisant, on se dit qu'à la place d'Elliott, on n'hésiterait pas une minute, mais évidemment, il n'y aurait pas de roman alors. Il faut que les deux personnages inexorablement attirés l'un par l'autre se découvent eux-mêmes et se dépatouillent de leurs situations respectives. C'est surtout vrai pour Elliott qui sans jouer, n'arrive pas à choisir l'un ou l'autre. Raphaël est plutôt clair dans ses sentiments (et fonceur) mais lui est célibataire. Et estime avoir le droit de tenter sa chance.
Alors, parce que tout de même, Raphaël est le patron d'une boîte de communication, on peut supposer que ses collaborateurs sont cools, mais... est-ce si facile? Ça a l'air de couler de source et je ne sais pas si ça coule de source... mais je ne peux pas spoiler.
Puis Elliott a été mis à la porte de ses parents à dix-sept ans, ce qui est très cruel. (Mais quels parents font ça? Bref) c'est pour cela qu'il est si attaché à son ex, Hugo, le troisième personnage du triangle amoureux. Et qui plus est sympathique. Puisque Hugo l'a pris à sa charge.
Donc, voilà le ton général, alors oui, c'est cru par moments, mais ça semble faire partie du genre (les romances actuelles, certaines sont plus crues que d'autres ou moins...) enfin, le côté vraiment sympathique des personnages rend cette romance agréable à lire. Je ne sais pas comment sont les autres romans de l'autrice, on verra...
Cela a un petit côté Marivaux, version 2018, car tout est dans les dialogues... et les confidences des uns aux autres... et la relation délicate patron/collaborateur, c'est un thème déjà abordé dans certains romans, Objet de toutes les convoitises, de Françoise Bourdin, et dans un roman "anglais", très mince, de Jay Northcote.
J'aurais peut-être cherché un autre titre que e-Dyllique, mais bon, ici, je cherche vraiment la petite bête ;-)
