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Critique de Papyriri
Tout d abord le bouquin référencé contient 2 romans , ce qui fait un lourd ,très lourd , pavé de 892 ,pages J avais lu déjà un volume de ces auteurs " la mort en confession" qui n avait pas suscité chez moi d'enthousiasme ( bonjour l'euphémisme ) si vous en avez le courage vous pourrez lire ma critique . Mais mon épouse , d avis différent , m ' a subtilement incité a lire cette oeuvre ( que voulez vous mon crane est sensible au rouleau à pâtisserie je l avoue ) Hé bien muni d'un casque lourd je persiste et je signe c est NAN ! et NAN !Les histoires se traînent le pauvre lecteur est englué non pas dans de la redondance mais du rabâchage , le style est lourdingue , c est sinistre , gris , triste , morne , sans intérêt, on a l impression de respirer une atmosphère saturée de vieille poussière l'époque l après 1° Guerre Mondiale dans la campagne Anglaise peuplée de paysans dévots et bas de plafond et de nobles prétentiards n' a rien à voir avec nos années folles .Dans les 2 énigmes ( enfin si l'on veut ) proposées le déroulement est tarabiscotés pour cacher le vide des mobiles si minces qu'ils frôlent le ridicule . Les personnages secondaires sont des copier -coller le flic local . le pasteur , le toubib , les coupables interchangeables d'un pensum à l autre Quand aux personnages féminins soit des malheureuses , des veuves de guerres luttant dans leurs pub et /ou hôtel pour survivre , ou de pauvres pantins dépassés , dépressives et manipulables mais friquées tout de même Quand a l inspecteur Ian Rutledge bien qu'il trimbale dans sa tête le fantôme du caporal Hamish Mc Leod qu il a fait fusiller , ce qui aurait pu être original il ne parvient qu'a traîner son désespoir à longueur de chapitre Que faut-il lui souhaiter l'internement ou le suicide ?
