Elle est la seule femme au monde à être entourée d’une aura qui brille comme un incroyable soleil, m’empêchant de détourner le regard. Même s’il m’aveugle.
- Comme on dit : "Tu n'es pas laide, tu es jute pauvre."
J’ai tellement de choses à lui dire, mais rien ne sort ; j’ai envie qu’il se casse, mais plus que tout, je veux qu’il reste.
Ces derniers temps, j'ai cette envie dévorante de changement.
Je dois vraiment me retenir de toutes mes forces pour ne pas pousser un cri quand je me prends les pieds dans cette foutue branche.
« Si je pense à la souffrance, même quelques secondes, je vais revoir cette petite fille voilée portant dans ses bras un tout petit garçon mort. Son visage était maculé de boue et de sang. C’était peut-être son frère, où elle a pu simplement le trouver dans la rue parmi tous les autres corps, il y avait tellement de blessés. Je cligne des yeux pour dégager cette saloperie de mon esprit. La douleur, j’associe la douleur a des souvenirs de guerre et parfois, quand je ne fais pas gaffe, ils reviennent en pleine gaffe, ils me reviennent en pleine gueule. »
« Sa peau luit sous le baiser brûlant du soleil. »
« Comment allaient ses habitants ?
Est-ce qu’on dansait sur le sable chaud quand le soleil se couchait à l’horizon ?
Elle voulait connaître tous les petits détails.
Ne plus rien sentir de réel. »
« Ce ne sont pas les « Et si » qui doivent gouverner tes choix de vie, Kare. Tu vas te rendre dingue a toujours t’inquiéter de ce qui pourrait arriver. »
« Il y a quelque chose à propos de Kael qui ne me quitte pas et qui me torture. Je n’avais jamais compté les jours auparavant ni regardé fixement une horloge, juste pour la supplier d’avancer. »