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Critique de prune42
Gustav Perle et Anton Zwiebel sont deux enfants qui vivent en Suisse à l'aube de la Seconde Guerre Mondiale. Ils deviennent amis mais les parents de Gustav ne voient pas d'un très bon oeil cette relation à cause notamment de leurs différences sociales et du fait qu'Anton soit juif. En effet, le père de Gustav avait falsifié des passeports de personnes juives pour leur sauver la vie, ce qui lui a fait perdre son travail. Anton, passionné de musique, rate ses performances, victime de son trac, chaque fois qu'il joue sur scène. le père de Gustav meurt et le jeune garçon vit avec sa mère qui ne lui manifeste pas le moindre amour. Les deux garçons grandissent tout en restant proches l'un de l'autre mais la chance ne sourit pas comme attendu, à Anton.
En empruntant à la médiathèque de ma commune ce roman, je m'attendais à lire, d'après ce que j'en avais vu sur Internet, une belle histoire d'amitié entre deux garçons durant la Seconde Guerre Mondiale, ce que me laissait imaginer aussi la jolie photo en noir et blanc de la couverture. Or, j'ai été surprise car le roman commence après guerre, en 1947 et il n'y a que la seconde partie du livre sur les trois qu'il comporte, qui évoque cette période.
La mère de Gustav m'a mise assez mal à l'aise, c'est une mère froide, peu aimante, pour moi elle ressemble à Folcoche de Vipère au poing et j'ai eu du mal à apprécier son personnage. L'enfance de Gustav sera dure, il sera privé de tendresse et j'ai souffert pour lui.
Le personnage âgé de Lottie m'a aussi gênée par sa nymphomanie, choquante chez une personne de cet âge.
Pour moi, il manque de la continuité dans ce roman et même si les personnages restent les mêmes, j'ai eu des difficultés à m'attacher vraiment à leur histoire.
J'ai terminé ce roman sans grand regret donc, je m'attendais vraiment à autre chose.
En empruntant à la médiathèque de ma commune ce roman, je m'attendais à lire, d'après ce que j'en avais vu sur Internet, une belle histoire d'amitié entre deux garçons durant la Seconde Guerre Mondiale, ce que me laissait imaginer aussi la jolie photo en noir et blanc de la couverture. Or, j'ai été surprise car le roman commence après guerre, en 1947 et il n'y a que la seconde partie du livre sur les trois qu'il comporte, qui évoque cette période.
La mère de Gustav m'a mise assez mal à l'aise, c'est une mère froide, peu aimante, pour moi elle ressemble à Folcoche de Vipère au poing et j'ai eu du mal à apprécier son personnage. L'enfance de Gustav sera dure, il sera privé de tendresse et j'ai souffert pour lui.
Le personnage âgé de Lottie m'a aussi gênée par sa nymphomanie, choquante chez une personne de cet âge.
Pour moi, il manque de la continuité dans ce roman et même si les personnages restent les mêmes, j'ai eu des difficultés à m'attacher vraiment à leur histoire.
J'ai terminé ce roman sans grand regret donc, je m'attendais vraiment à autre chose.
