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Critique de margauxthamcity
Une autrice française qui écrit de la dark fantasy, cela ne pouvait que me plaire. J'ai donc entamé « La guilde des ombres » avec un certain nombre d'attentes.
Le roman est un bon pavé de 850 pages au format poche, ce qui peut effrayer de prime abord mais nulle crainte, il se dévore à vitesse grand V.
La plume est fluide et l'intrigue est haletante. le worldbuilding est bien maîtrisé même si j'ai trouvé au début notamment, que l'univers avait des airs de deja vu. J'ai lu la trilogie NEVERNIGHT en début d'année et j'ai crains au départ que le récit offert par Anna Triss soit un copié collé. Après des débuts similaires, l'autrice se distingue finalement assez rapidement de la trilogie Nevernight. Panama, le personnage principal est attachante, on se plaît à suivre ses aventures et son parcours en tant qu'apprentie assassin. Les personnages secondaires ne sont pas en reste non plus puisque l'autrice nous sert une multitude de personnages au fort caractère sans jamais nous perdre.
Outre l'aspect de l'apprentissage de la jeune Panama, Anna Triss entame également une intrigue politique intéressante dont j'ai hâte de découvrir les tenants et aboutissants dans le reste de la saga. J'ai particulièrement apprécié la société des elfes et le worldbuilding inventif autour de cette partie de l'intrigue. le roman est fort bien dosé en terme d'action et l'aspect politique disséminé de part et d'autre de ce premier tome est franchement prometteur pour la suite.
Il y a cependant un élément qui m'a tout de même bien dérangé pendant ma lecture: à savoir la différence d'âge ÉNORME entre Panama et son love interest. C'est sûrement pour cela que je n'ai pas mis cinq étoiles au roman. S'agissant d'un premier tome je ne vais pas non plus abaisser plus ma note en laissant une chance aux prochains volumes de permettre de voir comment cette situation problématique évolue. En tout cas cela reste une lecture qui m'a bien happée du début jusqu'à fin et je m'en vais commencée le tome 2.
Le roman est un bon pavé de 850 pages au format poche, ce qui peut effrayer de prime abord mais nulle crainte, il se dévore à vitesse grand V.
La plume est fluide et l'intrigue est haletante. le worldbuilding est bien maîtrisé même si j'ai trouvé au début notamment, que l'univers avait des airs de deja vu. J'ai lu la trilogie NEVERNIGHT en début d'année et j'ai crains au départ que le récit offert par Anna Triss soit un copié collé. Après des débuts similaires, l'autrice se distingue finalement assez rapidement de la trilogie Nevernight. Panama, le personnage principal est attachante, on se plaît à suivre ses aventures et son parcours en tant qu'apprentie assassin. Les personnages secondaires ne sont pas en reste non plus puisque l'autrice nous sert une multitude de personnages au fort caractère sans jamais nous perdre.
Outre l'aspect de l'apprentissage de la jeune Panama, Anna Triss entame également une intrigue politique intéressante dont j'ai hâte de découvrir les tenants et aboutissants dans le reste de la saga. J'ai particulièrement apprécié la société des elfes et le worldbuilding inventif autour de cette partie de l'intrigue. le roman est fort bien dosé en terme d'action et l'aspect politique disséminé de part et d'autre de ce premier tome est franchement prometteur pour la suite.
Il y a cependant un élément qui m'a tout de même bien dérangé pendant ma lecture: à savoir la différence d'âge ÉNORME entre Panama et son love interest. C'est sûrement pour cela que je n'ai pas mis cinq étoiles au roman. S'agissant d'un premier tome je ne vais pas non plus abaisser plus ma note en laissant une chance aux prochains volumes de permettre de voir comment cette situation problématique évolue. En tout cas cela reste une lecture qui m'a bien happée du début jusqu'à fin et je m'en vais commencée le tome 2.
