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Critique de Cassiepey
J'ai attendu une semaine avant d'écrire mon avis, et ce pour être la plus objective possible. Une semaine me suffit toujours, pour faire retomber la pression et bien peser le pour et le contre un roman, et à me forger un avis final. Pour la Guilde, je crois que mon avis est sur la même longueur d'onde depuis la fin de la lecture de ce tome 2.2.
Nous reprenons à la suite du 2.1, et autant dire que le roman ne se perd pas en introduction, et c'est tant mieux, car vu les événements de la fin du tome 2.1, on veut impérativement connaître la suite.
Et autant dire que je trouvais déjà la partie 1 assez intense en termes d'intrigues, mais alors là, il se passe énormément de choses, dans tous les points de vue narratifs possible. J'ai savouré ce bouquin, si j'avais pu je l'aurais dévoré, mais là, en prenant tout mon temps (vie personnelle oblige) je l'ai savouré. Chaque page tournée est un pur délice, chaque chapitre lu apporte quelque chose à l'histoire. Vraiment, j'étais sur les fesses plus d'une fois.
Le gros point de cette saga, c'est que c'est de la Fantasy pure et dure, avec un super univers à explorer, des cultes, des guildes, bref tout ce qui peut composer de la bonne fantasy. Mais le gros plus de cette saga, que d'autres non pas, ce sont ces personnages qui VIVENT, qui semblent sortis de la vie réelle, et qui nous emmènent avec eux dans leurs joies, leurs tourments, leurs peines.
Alors oui, certaines scènes sont très dures, mais elles permettent, en choquant le lecteur, de permettre aussi la dénonciation des faits qui s'y déroulent. L'autrice ne les a pas écrits parce qu'elle aime ça, mais parce qu'elles servent l'histoire. Et pour ceux qui n'en voient pas l'intérêt, je dirai juste qu'ils nous restent encore les deux tomes 3 à découvrir, mais qu'en plus, si on comprends un tant soit peu la psychologie de manière générale (sans faire d'étude dans ce domaine), on voit bien que toutes ces scènes ont un effet marquant pour le personnage, qu'elles vont l'influencer en profondeur.
Le petit groupe de Nama et Bel, que nous suivons, dont je ne citerai pas les membres en détails, est tellement bien ensemble, de par leurs échanges, ils m'ont fait rire et sourire. Ils donnent cette touche de réalisme à la saga, car ce sont des « vrais » personnages. Avec une profondeur, et toujours droit dans leurs baskets : ils sont fidèles à eux-mêmes.
Ce tome-ci, c'est l'approfondissement de la relation de Nama et de Bel. Autant Bel creusait beaucoup auparavant, quitte à être très lourd pour Nama, autant dans ce tome-ci, elle lui laisse des ouvertures (quitte à le « chauffer » en premier). On découvre aussi cette facette sensible de Bel, qu'on lui connaissait déjà avec Aube, mais que l'on retrouve aussi envers Nama. Et ça fait du bien. Je pense que ce personnage masculin est le plus respectueux des femmes qu'Anna Triss ait pu créer.
La partie la plus émouvante pour moi reste la découverte cruciale que l'on fait sur Songeyar. Je ne m'en doutais absolument pas, et limite je trouve que cet aspect là est assez poétique et qu'il donne matière à réfléchir.
La fin de ce tome 2 est explosive, et laisse présager d'excellentes choses pour le tome 3, mais aussi, je le crains, de terribles événements. N'oublions pas que Khamar ne pardonnera pas à Panama l'affront et la distance qu'elle met entre eux. L'évolution de Faucheur promet des ténèbres plus noirs que la nuit.
La mort n'est pas le point final de la phrase, mais le premier mot d'une autre.
Nous reprenons à la suite du 2.1, et autant dire que le roman ne se perd pas en introduction, et c'est tant mieux, car vu les événements de la fin du tome 2.1, on veut impérativement connaître la suite.
Et autant dire que je trouvais déjà la partie 1 assez intense en termes d'intrigues, mais alors là, il se passe énormément de choses, dans tous les points de vue narratifs possible. J'ai savouré ce bouquin, si j'avais pu je l'aurais dévoré, mais là, en prenant tout mon temps (vie personnelle oblige) je l'ai savouré. Chaque page tournée est un pur délice, chaque chapitre lu apporte quelque chose à l'histoire. Vraiment, j'étais sur les fesses plus d'une fois.
Le gros point de cette saga, c'est que c'est de la Fantasy pure et dure, avec un super univers à explorer, des cultes, des guildes, bref tout ce qui peut composer de la bonne fantasy. Mais le gros plus de cette saga, que d'autres non pas, ce sont ces personnages qui VIVENT, qui semblent sortis de la vie réelle, et qui nous emmènent avec eux dans leurs joies, leurs tourments, leurs peines.
Alors oui, certaines scènes sont très dures, mais elles permettent, en choquant le lecteur, de permettre aussi la dénonciation des faits qui s'y déroulent. L'autrice ne les a pas écrits parce qu'elle aime ça, mais parce qu'elles servent l'histoire. Et pour ceux qui n'en voient pas l'intérêt, je dirai juste qu'ils nous restent encore les deux tomes 3 à découvrir, mais qu'en plus, si on comprends un tant soit peu la psychologie de manière générale (sans faire d'étude dans ce domaine), on voit bien que toutes ces scènes ont un effet marquant pour le personnage, qu'elles vont l'influencer en profondeur.
Le petit groupe de Nama et Bel, que nous suivons, dont je ne citerai pas les membres en détails, est tellement bien ensemble, de par leurs échanges, ils m'ont fait rire et sourire. Ils donnent cette touche de réalisme à la saga, car ce sont des « vrais » personnages. Avec une profondeur, et toujours droit dans leurs baskets : ils sont fidèles à eux-mêmes.
Ce tome-ci, c'est l'approfondissement de la relation de Nama et de Bel. Autant Bel creusait beaucoup auparavant, quitte à être très lourd pour Nama, autant dans ce tome-ci, elle lui laisse des ouvertures (quitte à le « chauffer » en premier). On découvre aussi cette facette sensible de Bel, qu'on lui connaissait déjà avec Aube, mais que l'on retrouve aussi envers Nama. Et ça fait du bien. Je pense que ce personnage masculin est le plus respectueux des femmes qu'Anna Triss ait pu créer.
La partie la plus émouvante pour moi reste la découverte cruciale que l'on fait sur Songeyar. Je ne m'en doutais absolument pas, et limite je trouve que cet aspect là est assez poétique et qu'il donne matière à réfléchir.
La fin de ce tome 2 est explosive, et laisse présager d'excellentes choses pour le tome 3, mais aussi, je le crains, de terribles événements. N'oublions pas que Khamar ne pardonnera pas à Panama l'affront et la distance qu'elle met entre eux. L'évolution de Faucheur promet des ténèbres plus noirs que la nuit.
La mort n'est pas le point final de la phrase, mais le premier mot d'une autre.
