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Critique de rbreizh


Années 1830. Promenades dans Londres nous transporte dans les bas-fonds de Londres et dans les lieux de pouvoir, Les chambres du Parlement notamment. Flora Tristan, telle une journaliste, décrit le contraste saisissant entre les plus riches et les plus pauvres. Et dans cet entre-deux, les oeuvres chrétiennes, qui "essayent" de venir en aide aux populations miséreuses. Dans cet ouvrage, Flora Tristan exprime son horreur face à ce qu'elle voit. Avec humour, elle observe que les nobles préfèrent leurs chevaux à leurs concitoyens. Pour résumer, le développement industriel du Royaume Uni a fait basculer une société agraire et artisanale en une société industrielle déshumanisante : les pauvres des campagnes ont rejoint les villes pour trouver du travail, abrutissant et paupérisant principalement. Je suis impressionnée par Flora Tristan, par son engagement social, son courage pour dénoncer l'horreur, d'autant plus grand qu'à cette époque les femmes n'ont pas la parole. Un petit rappel sur les conditions de vie au XIXe siècle qui ne peut pas faire de mal...
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