8 albums pour justifier un « reboot » à bord d'un immense vaisseau, l'Infinity 8, dont le capitaine, une puissante créature extraterrestre, peut « rebooter » jusqu'à 8 fois pour éviter des situations désagréables tournant au chaos.
Nous suivons l'incroyable agent de sécurité, Stella Moonkicker, sexy en diable, qui doit veiller à la tranquillité des centaines de milliers de passagers voyageant à bord de l'Infinity 8. Cette jeune fille est pour le moins très indépendante et n'a guère envie d'écouter le robot qui l'accompagne qui est la raison-même.
Stella sympathise très vite avec les nazis qui sont à son bord et qui n'ont aucune idée de qui étaient vraiment les nazis et Hitler. En clair, ce sont des gens charmants qui proposent de jolis mugs, des porte-clefs exclusifs, le gâteau de l'amitié, des conseils beauté-minceur, etc.
Soudain, l'Infinity 8 est bloqué dans son voyage vers Andromède par un obstacle imprévu : un amoncellement de tombes, mausolées, cimetières…
Critique :
Je n'ai été séduit ni par le dessin, ni par le scénario. L'humour se veut absurde. Il l'est ! Mais je ne l'ai pas trouvé drôle. le dessin me paraît d'un autre âge.
Je n'en dirai pas plus car je n'aime pas démolir un livre. J'ai longtemps hésité à en faire la critique pour cette raison, mais après tout, si je ne place sur BABELIO ce que j'ai aimé, je tronque la vérité.
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