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Critique de gonewiththegreen


Avec un titre pareil, on ne s'attend pas à des descriptions sur dix huit pages de l'océan, ni à l'introspection d'un retraité de la fonction publique d'ailleurs.
On vient pour de l'action , du loufoque, des mecs avec des grosses cojones qui font la peau à des méchants en saupoudrant le décor des restes de leurs organes .
Il y a de ça , mais pas que.
Jack Price ne se fait pas chier. A la tête d'une entreprise qui vise à sustenter le quidam en manque de poudre, il vit confortablement dans un immeuble de luxe .Manque de bol, la vieille du dessus se fait buter, il met son nez dedans et se retrouve avec des branques aux fesses.

On imagine la suite: Des meurtres , des victimes collatérales, des rebondissements, des "putain" et des putains en masse au mètre carré , un peu de cul (enfin ça y ressemblait, mais moi les électrodes j'y connais rien !) sinon , le "Allez vous faire foutre" aguicheur aurait sans doute laissé des lecteurs sur leur faim.
Bon , pas trop de surprise , mais pas non plus la purge à laquelle je m'attendais au bout de 20 pages.
Il y a des dialogues savoureux , teintés d'ironie. Un peu à la Bruce Willis , tenu en respect par 55 flingues, la tête à deux centimètres d'une cuve d'acide et qui se permet de philosopher et de provoquer ses interlocuteurs.
On s'y perd aussi un peu, le style favorisant les changements d'interlocuteurs.

Rien de génial donc, un bon coup de marketing sans doute. Moins réussi que le Bourbon Kid mais à pas à jeter avec les bouts de cervelle restant non plus.
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