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Critique de Sevlipp


Ramata, après un burn-out, se reconverti ; elle veut être art-thérapeute.
Son premier stage se déroule dans un EPHAD et elle est intriguée par une vieille dame métisse qui perd l'usage du français et qui utilise des mots d'une langue que personne ne comprend.
Dans un style poétique et une narration qui alterne entre 1954 au Rwanda à aujourd'hui, l'auteure va nous conter le destin de cette femme mais aussi de celle qui la prend sous son aile.
Il est question d'identité, de colonialisme, de racisme, d'intolérance, de tolérance, des souffrances de l'abandon et de religion.
Beata Umubyeyi Mairesse aborde les raisons qui font que l'on se perd parfois sois même pour s'intégrer, pour se faire une place.
Ces sujets sérieux, difficiles et peu gais sont le coeur du récit.
Les personnages sont esquintés par le vie et attachants.
Un joli roman nostalgique.
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