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Critique de gayane
1915, Léopoldine Montagne est une jeune infirmière creusoise qui oeuvre au front. Ses parents l'ont promise à Vincent, un officier bien de sa personne mais que son petit frère Célestin ne supporte pas.
Lorsque Clément, son frère aîné, déserte, c'est le déshonneur sur la famille Montagne et la méfiance du gouvernement retombe sur la pauvre jeune femme.
Un roman très intéressant du point du vu historique, avec des personnages attachants et un gros travaille de recherche de la part de l'auteure. Malheureusement, le style général du roman est lourd, parfois laborieux et peu abouti.
Trop de détails, trop de lourdeurs, les dialogues sont peu crédibles, trop didactique et pas assez de subtilité.
Le travail de l'auteure est visible et paraît très impressionnant (j'ai appris énormément de choses) mais elle aurait gagné à plus sous entendre plutôt qu'à tout expliciter. Cela a donné une impression de trop de documentation. Tout est cousu de fils blancs (pour ne pas dire de fils fluo à pois roses et zébrures violettes avec des panneaux lumineux), tout est trop placé intentionnellement et visiblement par l'auteure. Pire, elle met en lumière des mécanismes déjà trop apparents.
Fort regrettable car même avec cela, je me suis intéressée au personnage de Léo et à son histoire.
Bref, beaucoup de frustration pour moi.
Lorsque Clément, son frère aîné, déserte, c'est le déshonneur sur la famille Montagne et la méfiance du gouvernement retombe sur la pauvre jeune femme.
Un roman très intéressant du point du vu historique, avec des personnages attachants et un gros travaille de recherche de la part de l'auteure. Malheureusement, le style général du roman est lourd, parfois laborieux et peu abouti.
Trop de détails, trop de lourdeurs, les dialogues sont peu crédibles, trop didactique et pas assez de subtilité.
Le travail de l'auteure est visible et paraît très impressionnant (j'ai appris énormément de choses) mais elle aurait gagné à plus sous entendre plutôt qu'à tout expliciter. Cela a donné une impression de trop de documentation. Tout est cousu de fils blancs (pour ne pas dire de fils fluo à pois roses et zébrures violettes avec des panneaux lumineux), tout est trop placé intentionnellement et visiblement par l'auteure. Pire, elle met en lumière des mécanismes déjà trop apparents.
Fort regrettable car même avec cela, je me suis intéressée au personnage de Léo et à son histoire.
Bref, beaucoup de frustration pour moi.
