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Critique de Descollinesdepapier
Zette et Zotte sont soeurs. Elles travaillent dans la même uzine.
L'une veut se révolter contre leur condition précaire, qui ne leur laisse que des épluchures à la fin du mois, et contre le trapon. L'autre va plutôt dans le sens de ce dernier, est prête à faire des zeurs-sop, gravit les échelons.
Mais quand l'uzine est délocalisée, Zotte devient inutile pour le trapon, qui veut en plus emmener les machines !
Dès lors, la manifle, la grave et la revoluture sont plus que jamais au programme !
Un album pour parler de mouvement social, de lutte des classes, d'injustice... avec la créativité truculente de la langue imaginée par Elsa Valentin !
Un album pour parler de trucs de grands avec des mots d'enfants ?
A vrai, je ne suis pas sûre que les premiers destinataires de cet album soient les enfants, mais une chose est sûre... il est diablement efficace.
L'une veut se révolter contre leur condition précaire, qui ne leur laisse que des épluchures à la fin du mois, et contre le trapon. L'autre va plutôt dans le sens de ce dernier, est prête à faire des zeurs-sop, gravit les échelons.
Mais quand l'uzine est délocalisée, Zotte devient inutile pour le trapon, qui veut en plus emmener les machines !
Dès lors, la manifle, la grave et la revoluture sont plus que jamais au programme !
Un album pour parler de mouvement social, de lutte des classes, d'injustice... avec la créativité truculente de la langue imaginée par Elsa Valentin !
Un album pour parler de trucs de grands avec des mots d'enfants ?
A vrai, je ne suis pas sûre que les premiers destinataires de cet album soient les enfants, mais une chose est sûre... il est diablement efficace.
