Tu as envie d'entrainer tout le monde avec toi dans cette decouverte. D'ouvrir le recueil au hasard, de prendre les mots à pleines mains, comme une enfant ses couleurs, et d'en mettre partout.
De la poésie.
De la beauté.
De la Corse.
La plume de Saveriu Valentini d'abord, plume écorchée, rebelle. Abrupte comme les falaises de son île, sauvage et libre, tellement libre ! C'est cela que le poète nous livre, ce bien précieux, celui de préserver. La beauté. Autour. En soi. Comme une seule et même entité.
Puis vient le tour de
Marie-Michelle Leandri. Une autre facette se dévoile. Une autre facette de l'ile. de nous. Celle de la douceur et des rondeurs. Une île comme une femme. Une mère.
"Évoquer la nature c'est trahir sa beauté"
Te voilà taiseuse. Comme repliée, comme recroquevillée. Garder encore un peu la chaleur du sud. La beauté des mots. Et puis remercier, toujours remercier ceux qui, précieusement, coupent le souffle.
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