Au village de Saint-Victor du Mont, ça commence à parler fort, le loup serait de retour, des brebis se font massacrer. Ca se transforme vite fait en flip lorsque c'est une éleveuse qui passe de vie à trépas. La rumeur enfle, il semble bien que Garou (ce qui pourrait expliquer un suicide collectif !!!), non pardon, un loup-garou serait le coupable, foi d'un compatriote du chanteur.
Les peurs ancestrales se ravivent, les mauvaises langues se délient, notre cher Adamsberg suit cela de Paris.
Vargas montrait déjà avec cet Homme à l'envers, son talent de raconteuse d'histoires, sa marque de fabrique, celle de s'appuyer sur des peurs primales ou le cartésien y perd son latin. Sa manière de mettre le ver dans le fruit et d'observer cela avec malice et originalité.
Alors même si dans celui-ci J.B. Adamsberg à un rôle secondaire, et que Vargas à fait beaucoup mieux depuis, un petit tour vers le Mercantour, c'est du plaisir en retour.
Commenter  J’apprécie         743