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Critique de MonsieurHyacinthe
Une langue racée, la rue, l'alcool, des gens en marge, des personnages hauts en couleurs, pas de doute, c'est du Jean Vautrin !
Un jeune homme crapahute soudainement avec un clochard éclairé, qui lui promet de lui narrer son histoire peu commune, à condition de se faire rincer la glotte sans broncher. Pas de doute, ça va bavasser jazz et mort, double-croches et tombeaux suspects.
Sous le dessin d'Eugénie Lavenant, d'un noir plein, le récit de Vautrin intrigue et passionne. Une belle association d'artistes chez Sarbacane, juste avant le décès du maître.
Un jeune homme crapahute soudainement avec un clochard éclairé, qui lui promet de lui narrer son histoire peu commune, à condition de se faire rincer la glotte sans broncher. Pas de doute, ça va bavasser jazz et mort, double-croches et tombeaux suspects.
Sous le dessin d'Eugénie Lavenant, d'un noir plein, le récit de Vautrin intrigue et passionne. Une belle association d'artistes chez Sarbacane, juste avant le décès du maître.
