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Critique de lecassin
« Un grand patron », Pierre Véry.
Julliard 1952. In-8. Broché. 306 pages, sous jaquette en parfait état tirée du film d'Yves Ciampi avec Pierre Fresnay.
Un livre tant de fois aperçu sur les sites de vente en ligne ; un achat longtemps différé… Il aura fallu cet exemplaire en parfait état accompagné de sa jaquette en parfait état elle aussi pour déclencher l'achat du bibliophile que je suis…
Un achat de bibliophile collectionneur, pour certains écrivains, de livres tels que parus dans l'année de l'édition originale. Une marotte.
Pourquoi ce commentaire (non commentaire) teinté bouquiniste ?
Tout simplement parce que, heureux de posséder ce bel exemplaire, je ne le lirai pas…
« Un grand patron », en fait, un chef de service dans un service de chirurgie, à l'hôpital.
Impossible d'ouvrir le bouquin sans tomber sur la description in extenso d'opérations chirurgicales avec force vocabulaire technique...
Voilà qui est au dessus de mes forces. Un livre dont je suis sûr, si je commence, de ne pas atteindre le mot fin. A quoi bon commencer ?
Julliard 1952. In-8. Broché. 306 pages, sous jaquette en parfait état tirée du film d'Yves Ciampi avec Pierre Fresnay.
Un livre tant de fois aperçu sur les sites de vente en ligne ; un achat longtemps différé… Il aura fallu cet exemplaire en parfait état accompagné de sa jaquette en parfait état elle aussi pour déclencher l'achat du bibliophile que je suis…
Un achat de bibliophile collectionneur, pour certains écrivains, de livres tels que parus dans l'année de l'édition originale. Une marotte.
Pourquoi ce commentaire (non commentaire) teinté bouquiniste ?
Tout simplement parce que, heureux de posséder ce bel exemplaire, je ne le lirai pas…
« Un grand patron », en fait, un chef de service dans un service de chirurgie, à l'hôpital.
Impossible d'ouvrir le bouquin sans tomber sur la description in extenso d'opérations chirurgicales avec force vocabulaire technique...
Voilà qui est au dessus de mes forces. Un livre dont je suis sûr, si je commence, de ne pas atteindre le mot fin. A quoi bon commencer ?
