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Critique de LivresdAvril
Quelle idée géniale a eu Flore Vesco de revenir aux années d'études de Louis Pasteur et de cacher un loup-garou dans son école ! le binôme qu'il forme avec Constance est savoureux et l'énigme trépidante.
Comme toujours chez cette auteure, la jeune fille bien élevée va se révéler pleine de ressources et faire craquer le corset de son éducation. L'évolution de Constance et ses rapports de valeurs sont assez amusants.
De son côté, Louis Pasteur est dépeint comme un bourreau de travail aux intuitions géniales. La chimie est d'ailleurs utilisée aussi bien pour annoncer la composition des chapitres que pour décrire la couleur des cravates du coquet doyen.
Pour être totalement emportée, il m'a manqué la langue fleurie et les jeux de mots auxquels Flore Vesco m'avait habituée et qui sont ici très en retrait.
Mais ce petit regret ne doit pas empêcher de découvrir cette histoire malicieuse !
Comme toujours chez cette auteure, la jeune fille bien élevée va se révéler pleine de ressources et faire craquer le corset de son éducation. L'évolution de Constance et ses rapports de valeurs sont assez amusants.
De son côté, Louis Pasteur est dépeint comme un bourreau de travail aux intuitions géniales. La chimie est d'ailleurs utilisée aussi bien pour annoncer la composition des chapitres que pour décrire la couleur des cravates du coquet doyen.
Pour être totalement emportée, il m'a manqué la langue fleurie et les jeux de mots auxquels Flore Vesco m'avait habituée et qui sont ici très en retrait.
Mais ce petit regret ne doit pas empêcher de découvrir cette histoire malicieuse !
