Une grande oeuvre de Paul Vialar, sanctification de la chasse à courre et hymne à la vénerie. Oui, il y a un château et un comte quasiment ruiné dont le seul idéal est d'entretenir sa meute et de la faire chasser. La nature n'est pas en reste dans l'ouvrage car l'auteur la décrit à travers les animaux qui l'habitent, notamment ces grands cerfs au port altier ou ces sangliers pas si rustres que noirs. Le vocabulaire de la chasse à courre est très instructif, l'histoire est bien construite et les scènes de chasse splendides.
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