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Critique de Hiromichi
Greer a reçu une bourse pour être à S.T.A.G.S., le meilleur lycée de Grande-Bretagne. Cependant, elle ne fait pas partie de ce monde, de cet endroit où tout tourne autour des Médiévaux, un groupe de six riches étudiants venant d'anciennes familles. Elle est invisible et, pour se faire accepter, elle fait comme tout le monde, comme eux, elle se coupe donc du monde extérieur en abandonnant son portable et la technologie. Mais même comme ça, elle reste une adolescente isolée.
C'est pourquoi lorsque le leader du petit groupe d'élus, le beau Henry de Warlencourt, l'invite à un week-end traditionnel chasse-tir-pêche, elle accepte sans réfléchir. La solitude lui pèse et elle ne pense pas à retrouver ses amis d'antan. Elle se retrouve vite charmée par le beau garçon et l'attraction du pouvoir qu'il représente : celui de faire partie de la meute dominante.
Deux autres personnes sont aussi invitées, mais le fait qu'ils soient tous des êtres habituellement assez isolés ne la fait pas tiquer. Elle trouve ça étrange, mais ne se pose pas de question, elle veut découvrir ce nouveau monde auquel elle n'appartient pas.
On peut comprendre que Greer soit encore jeune, et même si elle est douée pour les études, elle se voile la face pour être acceptée. On aurait pu lui trouver des excuses pour cela, et qu'elle ne voit que tardivement ce qui se trame. Mais Greer est surtout affreusement arrogante. Elle traite les autres comme on la traite et ça en finit par être agaçant, car on sent chez elle un sentiment de supériorité alors qu'elle ne semble pas plus futée que les autres.
Pourtant, S.T.A.G.S. partait plutôt bien, la narration montre l'héroïne raconter son histoire avec du recul et du cynisme sur qui elle est. C'est amusant, et ça aurait pu marcher. Malheureusement, sa personnalité écrase l'ironie et devient de la méchanceté ou de la condescendance.
Ainsi, lors de la lecture, on ne s'attache pas vraiment aux personnages. Il y a également assez peu de surprises, mais l'écriture est fluide et le roman se lit rapidement. le premier tome de S.T.A.G.S. passe à côté de ce qu'il aurait pu être si les caractères avaient été plus travaillés et avec des passages un peu moins clichés.
Lien : http://onirik.net/S-T-A-G-S-..
C'est pourquoi lorsque le leader du petit groupe d'élus, le beau Henry de Warlencourt, l'invite à un week-end traditionnel chasse-tir-pêche, elle accepte sans réfléchir. La solitude lui pèse et elle ne pense pas à retrouver ses amis d'antan. Elle se retrouve vite charmée par le beau garçon et l'attraction du pouvoir qu'il représente : celui de faire partie de la meute dominante.
Deux autres personnes sont aussi invitées, mais le fait qu'ils soient tous des êtres habituellement assez isolés ne la fait pas tiquer. Elle trouve ça étrange, mais ne se pose pas de question, elle veut découvrir ce nouveau monde auquel elle n'appartient pas.
On peut comprendre que Greer soit encore jeune, et même si elle est douée pour les études, elle se voile la face pour être acceptée. On aurait pu lui trouver des excuses pour cela, et qu'elle ne voit que tardivement ce qui se trame. Mais Greer est surtout affreusement arrogante. Elle traite les autres comme on la traite et ça en finit par être agaçant, car on sent chez elle un sentiment de supériorité alors qu'elle ne semble pas plus futée que les autres.
Pourtant, S.T.A.G.S. partait plutôt bien, la narration montre l'héroïne raconter son histoire avec du recul et du cynisme sur qui elle est. C'est amusant, et ça aurait pu marcher. Malheureusement, sa personnalité écrase l'ironie et devient de la méchanceté ou de la condescendance.
Ainsi, lors de la lecture, on ne s'attache pas vraiment aux personnages. Il y a également assez peu de surprises, mais l'écriture est fluide et le roman se lit rapidement. le premier tome de S.T.A.G.S. passe à côté de ce qu'il aurait pu être si les caractères avaient été plus travaillés et avec des passages un peu moins clichés.
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