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Critique de JordanBaker
Jetons d'abord quelques fleurs à Ortensia Visconti, car on lui fera moins de cadeaux ensuite : les douze histoires présentées dans L'idée fixe sont bien écrites. le style est pur et agréable à lire, on se figure bien les personnages et leur milieu, l'auteur évoque le sexe d'une manière sensible et belle, c'est vrai, mais... il y a un énorme MAIS.
Si tant est que la journaliste ait réellement parcouru le monde en passant par les douze destinations qu'elle évoque là, je serais peinée pour elle si elle n'avait retenu que les vues stéréotypées décrites au fil des pages, parfois jusqu'au grotesque. Alors que la première nouvelle met en scène un Japonais adepte des jeux vidéo, (d'ailleurs on bute un peu sur la lecture alors que les lignes ne jonglent pas très aisément entre japonais et français), on ne retient d'Amsterdam que les péniches, les blondes à vélo et la consommation de drogue...
Pour le coup, ma lecture a manqué de saveur, je savais presque à quoi m'attendre rien qu'en lisant le titre de la nouvelle dévoilant où elle se passait. Il suffisait la plupart du temps de procéder à un condensé de clichés courants, ce qui avait un côté « trop facile »... C'est vraiment dommage, car Ortensia Visconti a une belle plume.
Si tant est que la journaliste ait réellement parcouru le monde en passant par les douze destinations qu'elle évoque là, je serais peinée pour elle si elle n'avait retenu que les vues stéréotypées décrites au fil des pages, parfois jusqu'au grotesque. Alors que la première nouvelle met en scène un Japonais adepte des jeux vidéo, (d'ailleurs on bute un peu sur la lecture alors que les lignes ne jonglent pas très aisément entre japonais et français), on ne retient d'Amsterdam que les péniches, les blondes à vélo et la consommation de drogue...
Pour le coup, ma lecture a manqué de saveur, je savais presque à quoi m'attendre rien qu'en lisant le titre de la nouvelle dévoilant où elle se passait. Il suffisait la plupart du temps de procéder à un condensé de clichés courants, ce qui avait un côté « trop facile »... C'est vraiment dommage, car Ortensia Visconti a une belle plume.
