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Critique de Leschroniquesdekali
Spencer a débarqué d'Australie il y a à peine deux ans. Il vit désormais à Los Angeles au-dessus d'un magasin de tatouages et exerce un métier relativement hors du commun.
Il / elle vous a laissé-e tomber ? Vous avez le coeur brisé ? Vous voulez que votre ex revienne ? Spencer répond « présent » pour le/la rendre jaloux-se et obtenir des réponses. Soit ça passe, soit ça casse. Un parfait faux petit-ami.
Prochain client : Andrew Landon, que son chéri a quitté du jour au lendemain, sans explication. Sa soeur n'en peut plus de le voir broyer du noir et souhaite éclaircir cette situation.
Spencer met en place le topo habituel. Prise de connaissance, détails personnels sur le client, fouille des réseaux de la cible, mise en place des limites lors de cette fausse relation, mais surtout pas de vrais sentiments, tout doit rester dans l'apparence. Et ça, Spencer est devenu maître en la matière depuis bien longtemps. Cacher ce qu'il est, ses faiblesses, il sait faire.
Mais revenons à Andrew. Il a un métier de dingue : graphiste pour une grosse société d'animation. Il a créé des story boards pour … (chut). Pour lui, c'est juste un boulot qui lui plait, mais pour Spencer, c'est fascinant. Ce mec a de l'or au bout des doigts et avec ça, il joue du piano comme un dieu. Attention : on a dit qu'on ne s'impliquait pas émotionnellement ! C'est un client, toujours amoureux de son ex, allons !
Après quelques situations cocasses qui créent des malaises et des rougissements jusqu'aux oreilles, on peut dire que la glace est brisée. Spencer et Andrew en viennent à discuter comme de vieux amis, dévoilant leur passion artistique, leurs défauts, mais aussi leurs blessures. Entre soirées télé et balades, ils apprennent à mieux se connaître et à avoir l'air d'un vrai couple, mais les bornes de leur relation n'en deviennent plus floues. Comme chacun se pose des interdits, personne ne fait le premier pas et la frustration atteint des sommets. On n'attend qu'une chose, c'est la confrontation avec l'ex. Mais, pour Spencer, les intérêts ont déjà changé.
On suit ces deux personnages dans une romance slowburn. Ils se complètent à merveille et partagent une passion commune qui les transporte. Une fine équipe les entoure et les épaule, ce qui ajoute un petit plus à l'histoire.
La lecture de ce premier tome est très rapide et nous laisse en suspens pour attaquer le second de plus belle. Une écriture fluide et agréable, tantôt drôle, tantôt émouvante que j'ai apprécié avec toutefois, des expressions assez récurrentes. le Oh my God étant mis à la sauce Jésus, Seigneur, Dieu à presque toutes les pages. On finit par s'y habituer.
Il / elle vous a laissé-e tomber ? Vous avez le coeur brisé ? Vous voulez que votre ex revienne ? Spencer répond « présent » pour le/la rendre jaloux-se et obtenir des réponses. Soit ça passe, soit ça casse. Un parfait faux petit-ami.
Prochain client : Andrew Landon, que son chéri a quitté du jour au lendemain, sans explication. Sa soeur n'en peut plus de le voir broyer du noir et souhaite éclaircir cette situation.
Spencer met en place le topo habituel. Prise de connaissance, détails personnels sur le client, fouille des réseaux de la cible, mise en place des limites lors de cette fausse relation, mais surtout pas de vrais sentiments, tout doit rester dans l'apparence. Et ça, Spencer est devenu maître en la matière depuis bien longtemps. Cacher ce qu'il est, ses faiblesses, il sait faire.
Mais revenons à Andrew. Il a un métier de dingue : graphiste pour une grosse société d'animation. Il a créé des story boards pour … (chut). Pour lui, c'est juste un boulot qui lui plait, mais pour Spencer, c'est fascinant. Ce mec a de l'or au bout des doigts et avec ça, il joue du piano comme un dieu. Attention : on a dit qu'on ne s'impliquait pas émotionnellement ! C'est un client, toujours amoureux de son ex, allons !
Après quelques situations cocasses qui créent des malaises et des rougissements jusqu'aux oreilles, on peut dire que la glace est brisée. Spencer et Andrew en viennent à discuter comme de vieux amis, dévoilant leur passion artistique, leurs défauts, mais aussi leurs blessures. Entre soirées télé et balades, ils apprennent à mieux se connaître et à avoir l'air d'un vrai couple, mais les bornes de leur relation n'en deviennent plus floues. Comme chacun se pose des interdits, personne ne fait le premier pas et la frustration atteint des sommets. On n'attend qu'une chose, c'est la confrontation avec l'ex. Mais, pour Spencer, les intérêts ont déjà changé.
On suit ces deux personnages dans une romance slowburn. Ils se complètent à merveille et partagent une passion commune qui les transporte. Une fine équipe les entoure et les épaule, ce qui ajoute un petit plus à l'histoire.
La lecture de ce premier tome est très rapide et nous laisse en suspens pour attaquer le second de plus belle. Une écriture fluide et agréable, tantôt drôle, tantôt émouvante que j'ai apprécié avec toutefois, des expressions assez récurrentes. le Oh my God étant mis à la sauce Jésus, Seigneur, Dieu à presque toutes les pages. On finit par s'y habituer.
