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Critique de ALDAMO21


C'est avec ces deux livres Tome 2 et Tome 3 , très répétitifs et redondants, que cela se gâte et que Walsch perd toute crédibilité. Comme si Dieu son confident, avait fumé la moquette du Paradis.

Dans LE TOME 2, est abordé les sujets, comme « la sexualité » où Dieu se montre le plus libertin possible. Car tout n'est qu'Amour, sentimental ou physique. Et il invite tous les hommes et les femmes « s'en donner à coeur joie, à se faire du Bien, sans tabou. ». Car c'est l'homme seul qui pose des tabous, des barrières et qui se limite dans ses plaisirs et ses désirs.

Y est abordé, « le travail », où chaque travailleur du monde entier, devrait reverser 10% de son revenu pour celles et ceux qui sont dans la misère et la précarité.
Abordé aussi les sujets divers comme celui de la société, le pouvoir, les élites, aussi la politique, le nouvelle ordre mondial. le modèle de l'émancipation, avec en exemple bien sûr, l'Amérique de George Busch.

Y est abordé « l'éducation des enfants ». D'après le Dieu de Neale Donald Walsch, cette éducation devrait être assurée par les anciens, car ce sont eux seuls qui ont le savoir et la sagesse.
Un homme de trente/quarante ans reste encore un être immature.

Il y est traité aussi dans ce livre, de la notion « du Bien et du Mal », qui ne font qu'un seul.
Et c'est là que commence cette discussion à propos d'Hitler qui ont fait grincer certaines dents.
Qu'Hitler n'a jamais incarné le Mal, car le mal n'existe pas, tout comme l'enfer.
Que c'est une conscience collective qui a fournit à Hitler un sol fertile à la croissance du mouvement Nazi.
Dieu s'offusque même que c'est avec la coopération et la soumission volontaire des milliers de gens, qu'Hitler a pu faire ce qu'il a fait même de plus atroce.
Ce qui est vrai !


LE TOME 3 est très répétitif. On y retrouve « la sexualité » si chère Neale Donald Walsch, à travers Dieu. On y retrouve pêle-mêle des sujets comme, « Jésus », car Walsch ne s'est pas défait complètement de son éducation religieuse chrétienne. Pour lui et pour son Dieu, Jésus fut le seul et vrai interprète et messager du Créateur.

Y est traité aussi, la nature de l'âme, la vie après la mort, la réalité des médiums, qui sont aujourd'hui les seuls à savoir lire l'avenir.
Des conversations sur les sociétés antiques perdues, ou les toutes premières civilisations qui avant de devenir patriarcales étaient toutes matriarcales.
Un passage édifiant du livre !

Et pour finir une longue conversation sur l'existence avérée des extra-terrestres, qui est aussi un long passage délirant du livre.

Dieu se confie à l'auteur et lui avoue que sans « l'infiltration » d'extra-terrestres, notre humanité entière n'aurait pas évolué au degré qu'elle est aujourd'hui.
Qu'ils sont parmi nous en permanence, qu'ils nous observent comme des rats de laboratoire. Et que chaque idée de génie et découvertes scientifiques sont les oeuvres d'extra-terrestres qui furent soufflées à l'oreille de l'homme.

Bref. Des extra-terrestres méprisants et suffisants à eux-mêmes, qui ont acquis un tel degré d'évolution, qu'ils ne jugent pas nécessaire, important et bon, d'entrer en contact avec les petits et archaïques êtres humains de la terre.

En résumé, le premier livre de Neale Donald Walsch était très intéressant et innovateur. Il a écrit le deuxième et troisième tome, par appât du gain, même s'il s'en défend dans chaque fin de livre.
Il y a même un quatrième tome qui est en projet.
Le business reste le business, avec ou sans la bénédiction de Dieu


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