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Critique de Nyx
Je l'avoue, j'étais beaucoup moins intéressé par le couple de ce tome que par le couple formé par John et Xhex (même si cette dernière ouvre la voie aux femelles dans les actions de la Confrérie).
Manuel Manello est humain, mais va tombé amoureux de Souffhrance, la fille de la Vierge Scribe.
Donc on va trouver dans ce tome le comportement hautement machiste de Viscz (qui mériterait de bonnes paires de baffes) qui, non content d'être profondément injuste envers sa soeur il sera tout simplement atroce avec sa compagne. Elle ne méritait pas cela et il ne fait véritablement rien pour se faire pardonner.
Dans le même temps on voit apparaître un nouvel ennemi de la Confrérie, l'auteur ayant bien sentit que ça sentait le vilain pour les Eradiqueurs. On tournait en rond, on avait besoin d'un nouveau méchant.
Je ne sais pas ce que ça va donné, mais j'ai trouvé que la dette avec Souffhrance partait un peu en cacahuète.
Le pire resteront les "trucs" érnomes que l'auteur met dans son roman : en plus des noms atroces (que ce soit Manuel Manello ou le nom de son cheval), ça ne dérange pas l'auteur de faire dire des bêtises à un chirurgien. Une grippe ? seriously ?
Bref, je n'ai pas aimé l'histoire entre le médecin et Souffhrance même si le personnage de la fille de la Vierge Scribe peut, avec Xhex, amener un vent de nouveauté sur la série. Je regrette juste que la Vierge Scribe tourne à la vilaine délaissée.
Dans l'ensemble, c'est un tome "en dessous", mais bon je commence à avoir l'habitude.
Lien : http://nyx-shadow.blogspot.f..
Manuel Manello est humain, mais va tombé amoureux de Souffhrance, la fille de la Vierge Scribe.
Donc on va trouver dans ce tome le comportement hautement machiste de Viscz (qui mériterait de bonnes paires de baffes) qui, non content d'être profondément injuste envers sa soeur il sera tout simplement atroce avec sa compagne. Elle ne méritait pas cela et il ne fait véritablement rien pour se faire pardonner.
Dans le même temps on voit apparaître un nouvel ennemi de la Confrérie, l'auteur ayant bien sentit que ça sentait le vilain pour les Eradiqueurs. On tournait en rond, on avait besoin d'un nouveau méchant.
Je ne sais pas ce que ça va donné, mais j'ai trouvé que la dette avec Souffhrance partait un peu en cacahuète.
Le pire resteront les "trucs" érnomes que l'auteur met dans son roman : en plus des noms atroces (que ce soit Manuel Manello ou le nom de son cheval), ça ne dérange pas l'auteur de faire dire des bêtises à un chirurgien. Une grippe ? seriously ?
Bref, je n'ai pas aimé l'histoire entre le médecin et Souffhrance même si le personnage de la fille de la Vierge Scribe peut, avec Xhex, amener un vent de nouveauté sur la série. Je regrette juste que la Vierge Scribe tourne à la vilaine délaissée.
Dans l'ensemble, c'est un tome "en dessous", mais bon je commence à avoir l'habitude.
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