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Critique de reveline
Pas grand-chose à se mettre sous la dent dans ce roman de gare sous testostérone. Et que c'est mal écrit ! le style est très pauvre et bourré de vulgarité.
L'héroïne est sans surprises. Typique de la bit-lit, le genre de nana qui défaille quand on lui grogne d'une grosse voix : “Tu es à moi ! Tu m'appartiens, grrr !” (très peu pour moi).
Quant aux personnages masculins, ils ont dû rater le train qui conduisait à l'évolution de l'espèce, vu qu'ils sont aussi profonds et subtils que des néanderthaliens. Kohler, le « héros », passe son temps à grogner et à avoir des érections (Voilà pourquoi il est aussi crétin ! Tu m'étonnes, il n'a plus assez de sang pour irriguer son cerveau !).
La mythologie vampirique mise sommairement en place avait un petit potentiel, potentiel très mal exploité hélas. L'auteure préférant manifestement verser dans le roman Harlequin en oubliant ses (rares) bonnes idées en route.
Les scènes d'amour (devrais-je plutôt dire de sexe ?) sont non seulement trop présentes mais surtout complètement risibles (fous rires garantis).
Même la société secrète que les guerriers vampires combattent est grotesque et pitoyable ! Imaginez-vous que ces vilains empêcheur de mordre en rond sont facilement identifiables car ils sentent… le talc pour bébés (là, j'étais morte de rire!).
Bref, si vous voulez vous payer une bonne tranche de rigolade, lisez cette saga hilarante. Pour ma part, je m'en tiendrai là.
L'héroïne est sans surprises. Typique de la bit-lit, le genre de nana qui défaille quand on lui grogne d'une grosse voix : “Tu es à moi ! Tu m'appartiens, grrr !” (très peu pour moi).
Quant aux personnages masculins, ils ont dû rater le train qui conduisait à l'évolution de l'espèce, vu qu'ils sont aussi profonds et subtils que des néanderthaliens. Kohler, le « héros », passe son temps à grogner et à avoir des érections (Voilà pourquoi il est aussi crétin ! Tu m'étonnes, il n'a plus assez de sang pour irriguer son cerveau !).
La mythologie vampirique mise sommairement en place avait un petit potentiel, potentiel très mal exploité hélas. L'auteure préférant manifestement verser dans le roman Harlequin en oubliant ses (rares) bonnes idées en route.
Les scènes d'amour (devrais-je plutôt dire de sexe ?) sont non seulement trop présentes mais surtout complètement risibles (fous rires garantis).
Même la société secrète que les guerriers vampires combattent est grotesque et pitoyable ! Imaginez-vous que ces vilains empêcheur de mordre en rond sont facilement identifiables car ils sentent… le talc pour bébés (là, j'étais morte de rire!).
Bref, si vous voulez vous payer une bonne tranche de rigolade, lisez cette saga hilarante. Pour ma part, je m'en tiendrai là.
