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Critique de umezzu
Cette série BD a pour héros Alessandro Beltrame, un jeune vénitien au XVIII éme siècle, libertin assumé, bâtard du sénateur Bragadini. Or, c'est justement dans un casin (aujourd'hui on dirait une garçonnière) du sénateur qu'une riche bourgeoise a été tuée avec des actes de violence extrême. La situation pour l'enquêteur de la République, messer Grande, devient compliquée, car ce meurtre intervient après deux autres crimes aussi violents, commis sur deux femmes de moindre importance.
Alessandro est convié par son père à mener une enquête discrète, en raison des fréquentations qu'il a dans les bouges et les bas-fonds. Avec sa compagne, la belle africaine Tshano, il va aller jusqu'à employer la magie noire pour orienter ses recherches.
Cette BD est spectaculaire sur le plan de la reconstitution de la Venise décadente du XVIII éme. La fête passe avant tout. La liberté sexuelle tient salon. Alessandro se partage d'ailleurs entre son amante africaine et la fine Mme Tron.
Le dessin constitue le point fort de cette BD : mise en scène, choix de cadrage, beauté des monuments, même sous la pluie qui masque les crimes les plus horribles.
Une découverte inattendue.
Alessandro est convié par son père à mener une enquête discrète, en raison des fréquentations qu'il a dans les bouges et les bas-fonds. Avec sa compagne, la belle africaine Tshano, il va aller jusqu'à employer la magie noire pour orienter ses recherches.
Cette BD est spectaculaire sur le plan de la reconstitution de la Venise décadente du XVIII éme. La fête passe avant tout. La liberté sexuelle tient salon. Alessandro se partage d'ailleurs entre son amante africaine et la fine Mme Tron.
Le dessin constitue le point fort de cette BD : mise en scène, choix de cadrage, beauté des monuments, même sous la pluie qui masque les crimes les plus horribles.
Une découverte inattendue.
