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Critique de Medulla
Première lecture norvégienne et découverte de l'univers d'Herbjorg Wassmo.
Un coup de poing... un coup de canon devrais je dire.
Un réel talent de conteuse au service de personnages cabossés (tuméfiés même) mais absolument attachants. Que la vie est dure sous le ciel gris de Norvège, les caractères sont aussi trempés que les rochers battus par la pluie, et les secrets de famille aussi pesant que le brouillard épais.
La douleur de vivre et de respirer, le poids de la culpabilité d'exister (le petit oisillon... ouhlala), la famille qui est autant un fardeau que le socle fondateur d'une vie pour un texte qui marque au fer rouge.
Un coup de poing... un coup de canon devrais je dire.
Un réel talent de conteuse au service de personnages cabossés (tuméfiés même) mais absolument attachants. Que la vie est dure sous le ciel gris de Norvège, les caractères sont aussi trempés que les rochers battus par la pluie, et les secrets de famille aussi pesant que le brouillard épais.
La douleur de vivre et de respirer, le poids de la culpabilité d'exister (le petit oisillon... ouhlala), la famille qui est autant un fardeau que le socle fondateur d'une vie pour un texte qui marque au fer rouge.
