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Critique de mauriceandre
Salut les Babelionautes
J'ai retrouvé avec plaisir les Chats Sylvestres avec la première "le chat perdu" que l'on doit a la plume de Linda Evans est plus un polar de S.F.
La seconde nous vaut de retrouver David Weber qui nous raconte comment la famille Royale en la personne d'Élisabeth Winton, qui n'est encore que la future Reine, est adoptée lors d'une tentative d'assassinat.
Cette Nouvelle permet encore une fois de lever le voile sur des événements évoqués dans l'Honorverse mais qui n'avait pas reçus d'explications détaillées.
Dans la troisième c'est jane Lindskold qui nous raconte la aussi l'un des événements qui a forgé la Haine viscérale d'Élisabeth III avec l'accident de grav-ski qui a causé la mort de son père, Roger III.
La quatrième, même si on y rencontre Honor, relate simplement une catastrophe sur la planète Gryphon, mais elle est née sous la plume magique de David Weber, avec un personnage, Susan Hibson, que je n'arrive pas a situer dans la Saga.
Pour Moi la cinquième est la moins bonne et je n'en dirais rien en bien ou en mal.
Je dois a Michel Pagel le plaisir de découvrir un peu plus de l'Honorverse grâce a son travail de traduction et je l'en remercie.
J'ai retrouvé avec plaisir les Chats Sylvestres avec la première "le chat perdu" que l'on doit a la plume de Linda Evans est plus un polar de S.F.
La seconde nous vaut de retrouver David Weber qui nous raconte comment la famille Royale en la personne d'Élisabeth Winton, qui n'est encore que la future Reine, est adoptée lors d'une tentative d'assassinat.
Cette Nouvelle permet encore une fois de lever le voile sur des événements évoqués dans l'Honorverse mais qui n'avait pas reçus d'explications détaillées.
Dans la troisième c'est jane Lindskold qui nous raconte la aussi l'un des événements qui a forgé la Haine viscérale d'Élisabeth III avec l'accident de grav-ski qui a causé la mort de son père, Roger III.
La quatrième, même si on y rencontre Honor, relate simplement une catastrophe sur la planète Gryphon, mais elle est née sous la plume magique de David Weber, avec un personnage, Susan Hibson, que je n'arrive pas a situer dans la Saga.
Pour Moi la cinquième est la moins bonne et je n'en dirais rien en bien ou en mal.
Je dois a Michel Pagel le plaisir de découvrir un peu plus de l'Honorverse grâce a son travail de traduction et je l'en remercie.
