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Critique de Jahyra
D'un style résolument différent des deux précédents tomes, mais qui résulte d'une évolution lente et logique tout au long du récit, ce troisième et dernier tome s'attarde sur des personnages qui n'étaient que secondaires jusqu'alors et dont on prend toute l'importance.
La fin est un peu précipitée, je me suis clairement demandé arrivé à une vingtaine de pages de la fin, comment l'auteur pouvait conclure tout ce qu'il avait enclenché en si peu de pages, mais ça se tient, et plutôt bien.
On pourrait effectivement reprocher un certain TGCM (ta gu**le c'est magique!) qui revient souvent comme explication, mais le déroulement est cependant logique, expliqué juste ce qu'il faut sans que cela ai l'air d'être excusé ou trop justifié de la part de l'auteur pour que ça ne soit pas naturellement inclus dans le récit.
Certains personnage (Durzo pour ne citer que lui) deviennent peut être un peu trop humains, peut être que leur caractère devient d'un coup un peu trop facile voire gentillet, mais d'autres gagnent en complexité.
Après tout, on ne peut simplement pas continuer à se limiter à deux-trois personnages retords et pleins d'un passé tumultueux lorsque l'intrigue se fait maintenant au niveau de pays.
Ce troisième et dernier volume s'étend et se termine sur une vision bien plus large que ce que le récit avait commencé, et on regrette peut être simplement de n'avoir connu quelques personnages plus en profondeur que sur ce volume.
Cela reste la meilleure série que j'ai pu lire cette année.
La fin est un peu précipitée, je me suis clairement demandé arrivé à une vingtaine de pages de la fin, comment l'auteur pouvait conclure tout ce qu'il avait enclenché en si peu de pages, mais ça se tient, et plutôt bien.
On pourrait effectivement reprocher un certain TGCM (ta gu**le c'est magique!) qui revient souvent comme explication, mais le déroulement est cependant logique, expliqué juste ce qu'il faut sans que cela ai l'air d'être excusé ou trop justifié de la part de l'auteur pour que ça ne soit pas naturellement inclus dans le récit.
Certains personnage (Durzo pour ne citer que lui) deviennent peut être un peu trop humains, peut être que leur caractère devient d'un coup un peu trop facile voire gentillet, mais d'autres gagnent en complexité.
Après tout, on ne peut simplement pas continuer à se limiter à deux-trois personnages retords et pleins d'un passé tumultueux lorsque l'intrigue se fait maintenant au niveau de pays.
Ce troisième et dernier volume s'étend et se termine sur une vision bien plus large que ce que le récit avait commencé, et on regrette peut être simplement de n'avoir connu quelques personnages plus en profondeur que sur ce volume.
Cela reste la meilleure série que j'ai pu lire cette année.
