Le Diable s'habille en Prada

Je ne ferais pas de résumé. j'ai déjà aperçu plusieurs fois le film passé à la télé, peut-être même l'affiche quand il est sorti (en 2006), mais vu le sujet je n'ai jamais été tenté de le regardé et je n'aurais même jamais lu ce roman si je n'avais pas récupéré ce sac de livres non choisis, mais comme soit les titres, soit les auteurs étaient « connus » de moi, je les lis progressivement. Donc pour en revenir à celui-ci, il fait quand même environ 500 pages, je dois reconnaître qu'il se lit assez facilement, mais qu'il est pour moi personnellement, dépourvu d'intérêt, je croyais même que je l'abandonnerais en route si en plus le style m'avait déplut aussi… je dois avouer que tout ce qui concerne la « haute couture » , la « haute société », la vie des « people » tout ce monde trop snob à mon goût, ne m'intéresse pas. Pour moi célébrité, arrivisme et fric ne sont systématiquement synonymes d'intelligence, loin de là… mais bon j'ai poursuivi…
Je crois qu'il va me marquer justement parce que le comportement de la rédactrice en chef est odieux et que personne ne se rebiffe me semble incompréhensible, j'attends cela à chacun des chapitres que j'enchaine … Doit-on tout tolérer pour obtenir plus… peut-être les choses changeront dans les 100 dernières pages qu'il me reste à lire…
Et, à mon avis personnel, je trouve aussi incroyable, qu'on puisse écrire un livre avec autant de pages qui soient autant vides et dépourvues d'intérêts…
J'étais partie pour mettre encore moins d'étoile et voilà enfin un moment jubilatoire dans ce roman, l'héroïne fini par dire à sa tyrannique patronne « d'aller se faire foutre » et de « démissionner » il était temps, ouf…