Bernard Werber a eu, une fois, une bonne idée.
La Révolution des Fourmis est le troisième round de son exploitation, alors que le filon est pourtant déjà épuisé. C'est sans grand intérêt, le style très scolaire n'aidant pas à avaler ces centaines de pages où à chaque nouveau paragraphe l'on en vient à se demander avec un amusement des plus légitimes quelle nouvelle avancée complètement artificielle de la narration
Werber va nous pondre. Et l'on est pas reçu !
On a parfois tendance à ranger la science-fiction comme étant une "sous-littérature", ce qui est faux. Par contre on peut le faire sans le moindre problème pour
La Révolution des fourmis.
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