C'est pour moi le plus mauvais tome de la série Aria. L'immaturité littéraire et graphique de l'auteur y est omniprésente et véritablement pénible. On n'a pas de meilleurs dessins et d'encore moins bon dialogues que dans le tome précédent qui avait au moins l'avantage de nous présenter une histoire naïve mais cohérente. Ici, on a quatre petites histoires sans liens entre-elles, dont seule la première semble avoir une autre fonction que du simple remplissage d'album.
Il faut tout de même remarquer que l'auteur introduit pour la première fois le merveilleux dans son univers médiéval uchronique par la présence de la magie et de créatures imaginaires. On y rencontre également plusieurs personnages, à peine suggérés dans ce tome, mais qui seront retrouvés et davantage développés plus tard dans la série.
A part pour le collectionneur, donc, cet album n'a vraiment aucun intérêt.
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