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Critique de Juin
Emprunté à la bibliothèque au rayon policier ce roman n'en est absolument pas un, même si il est noté "suspense" pour la collection. Par contre l'édition Milady donne bien la couleur, c'est un roman pour les femmes, aucun doute là-dessus.
Dans une résidence dorée, au bord de la piscine où tous les habitants se retrouvent l'histoire s'écrit peu à peu. Famille aisée, sans problème, tout ce petit monde cohabite et l'ombre d'une enfant disparue n'est vraiment évoquée qu'au milieu du livre. Alors que cela me semblait le sujet du livre.
J'ai retrouvé un peu l'atmosphère de Moriarty, que j'apprécie. Un roman choral qui pose peu à peu les jalons de cette histoire, avec une famille rejetée car pauvre. Leur domicile est appelé " la verrue " par ces américains snobs et sans problème financier. Mais il ne faut pas gratter le vernis nous apprendra l'auteur... Ce que l'on avait compris depuis un moment.
Lecture agréable, sans prise de tête le roman se dévore pour ses personnages mais est assez ordinaire. J'ai beaucoup aimé Zell pour son charisme, son empathie... Une presque vieille dame superbe.
Dans une résidence dorée, au bord de la piscine où tous les habitants se retrouvent l'histoire s'écrit peu à peu. Famille aisée, sans problème, tout ce petit monde cohabite et l'ombre d'une enfant disparue n'est vraiment évoquée qu'au milieu du livre. Alors que cela me semblait le sujet du livre.
J'ai retrouvé un peu l'atmosphère de Moriarty, que j'apprécie. Un roman choral qui pose peu à peu les jalons de cette histoire, avec une famille rejetée car pauvre. Leur domicile est appelé " la verrue " par ces américains snobs et sans problème financier. Mais il ne faut pas gratter le vernis nous apprendra l'auteur... Ce que l'on avait compris depuis un moment.
Lecture agréable, sans prise de tête le roman se dévore pour ses personnages mais est assez ordinaire. J'ai beaucoup aimé Zell pour son charisme, son empathie... Une presque vieille dame superbe.
