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Critique de Bricyclette
Pioché en page 9 "Je n'ai jamais pu expliquer pourquoi les personnes âgées me touchent autant. Sans doute parce que je n'ai pas connu mes grands-parents. J'éprouve le besoin de les protéger, de les prendre dans mes bras et, de ma jeunesse, leur faire un barrage au temps qui passe."
Avec de telles phrases et un sujet traitant de la vieillesse et d'intergénérationnel, Anne Wiazemsky ne pouvait que me séduire avec son vieux qui déjeunait seul.
Son vieux, c'est Clément qui change de crémerie tous les midis ; tout en reconnaissant que celle qu'il préfère c'est celle où Clara est serveuse. Pourquoi ? Parce qu'elle l'émeut cette petite. Ils ont la souffrance et la littérature en partage. Alors quand Clara ose enfin l'aborder pour lui parler justement littérature, une belle histoire d'amitié démarre. Et je trouve que la force de ce livre tient à la manière dont AW décrit les émotions de ses personnages.
Vous l'aurez compris, j'ai été conquise par ce texte et j'en redemande.
Avec de telles phrases et un sujet traitant de la vieillesse et d'intergénérationnel, Anne Wiazemsky ne pouvait que me séduire avec son vieux qui déjeunait seul.
Son vieux, c'est Clément qui change de crémerie tous les midis ; tout en reconnaissant que celle qu'il préfère c'est celle où Clara est serveuse. Pourquoi ? Parce qu'elle l'émeut cette petite. Ils ont la souffrance et la littérature en partage. Alors quand Clara ose enfin l'aborder pour lui parler justement littérature, une belle histoire d'amitié démarre. Et je trouve que la force de ce livre tient à la manière dont AW décrit les émotions de ses personnages.
Vous l'aurez compris, j'ai été conquise par ce texte et j'en redemande.
