La petite-fille de
François Mauriac continue à nous raconter l'histoire de sa famille, de sa jeunesse et de son enfance. Ici, elle évoque la figure du religieux, professeur de Français-Latin au Venezuela, où elle résidait alors, avant que sa mère n'emmène ses enfants en France, loin de leur père.
Le père Deau, tel était son nom, modeste et profond, a grandement contribué à l'élévation spirituelle de la petite
jeune fille promise à un grand destin (actrice, écrivain de renom à son tour, ...) qu'elle était alors.
L'autrice le retrouve des années plus tard, alors qu'elle commence à devenir célèbre, et c'est l'intéressant récit de ces retrouvailles qu'elle nous livre ici. C'est aussi celui d'une amitié hors norme entre l'élève et son professeur spirituel.
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