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Critique de LaMinuteMAD
Un couple, trois chances de le faire durer, dans trois époques différentes.
Violet et Albert sont à chaque fois né le même jour, à la même heure. Et le Destin les fait se rencontrer, car on dirait qu'ils sont faits l'un pour l'autre. Nés en 1927, ils se rencontrent une première fois en 1947, nés en 1947, ils se rencontrent à nouveau en 1967 puis, nés en 1967, ils se croisent en 1987. Bien sûr à chaque fois c'es la première fois. Ces trois histoires nous montrent une histoire d'amour sous trois jours différents, dans trois époques différentes, qui a finalement évolué à grande vitesse. Au centre de tout cela, la politique, les droits des citoyens, le fossé entre classe ouvrière et classe aisée (ça se passe en Grande Bretagne, entre Angleterre et Pays de Galles), sur la transformation du couple à travers le XXème siècle et sur les différences entre générations. C'est un roman avant tout social, voire sociologique, mais aussi nostalgique, quand on a vécu à l'une ou plusieurs de ces périodes. Des retours en arrière, souvenirs sont assez fréquents, il faut suivre pour ne pas se perdre dans le temps. le roman peut paraître un peu long (les chapitres le sont en tout cas) car c'est une histoire racontée 3 fois, avec de sacrées différences, certes, mais il y a un effet de lenteur et de longueur qui en ressort. On alterne les pensées de Violet et d'Albert sans transitions, comme pour signifier qu'ils ne font qu'un ou presque. C'est un peu déstabilisant les 1ères pages mais on s'y habitue très vite. Ces personnages sont peut-être faits l'un pour l'autre mais ils ont à chaque fois une certaine incapacité, un refus, une honte à dévoiler leurs sentiments, pensées, doutes sur le moment, ce qui gâche parfois leur histoire d'amour. Ils doivent jongler entre leur amour et leurs convictions (politiques, féminisme, amour libre, liberté, maternité, etc.) Mais ils ont plusieurs chances, sans le savoir.
Violet et Albert sont à chaque fois né le même jour, à la même heure. Et le Destin les fait se rencontrer, car on dirait qu'ils sont faits l'un pour l'autre. Nés en 1927, ils se rencontrent une première fois en 1947, nés en 1947, ils se rencontrent à nouveau en 1967 puis, nés en 1967, ils se croisent en 1987. Bien sûr à chaque fois c'es la première fois. Ces trois histoires nous montrent une histoire d'amour sous trois jours différents, dans trois époques différentes, qui a finalement évolué à grande vitesse. Au centre de tout cela, la politique, les droits des citoyens, le fossé entre classe ouvrière et classe aisée (ça se passe en Grande Bretagne, entre Angleterre et Pays de Galles), sur la transformation du couple à travers le XXème siècle et sur les différences entre générations. C'est un roman avant tout social, voire sociologique, mais aussi nostalgique, quand on a vécu à l'une ou plusieurs de ces périodes. Des retours en arrière, souvenirs sont assez fréquents, il faut suivre pour ne pas se perdre dans le temps. le roman peut paraître un peu long (les chapitres le sont en tout cas) car c'est une histoire racontée 3 fois, avec de sacrées différences, certes, mais il y a un effet de lenteur et de longueur qui en ressort. On alterne les pensées de Violet et d'Albert sans transitions, comme pour signifier qu'ils ne font qu'un ou presque. C'est un peu déstabilisant les 1ères pages mais on s'y habitue très vite. Ces personnages sont peut-être faits l'un pour l'autre mais ils ont à chaque fois une certaine incapacité, un refus, une honte à dévoiler leurs sentiments, pensées, doutes sur le moment, ce qui gâche parfois leur histoire d'amour. Ils doivent jongler entre leur amour et leurs convictions (politiques, féminisme, amour libre, liberté, maternité, etc.) Mais ils ont plusieurs chances, sans le savoir.
