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Critique de Lenelai
Un album très original servi par deux grands noms du paysage éditorial jeunesse.
Les illustrations sont très attirantes : des teintes vives, une bonne dose d'humour, des personnages attachants dessinés tout en rondeur... (Mention spéciale à la bouille sympathique de la chenille).
La promesse tire également son originalité de son sens de lecture. L'album se présente sous un format ique, mais il se lit à la verticale. La page du haut représente le monde de la chenille, la page du bas le monde aquatique du têtard. La pliure de la page symbolise la surface de l'eau, frontière des deux univers. Une petite astuce de mise en page qui sépare encore un peu plus les deux amoureux.
Mais surtout, c'est la chute finale surprenante qui démarque la Promesse des autres albums. (Certaines personnes de mon entourage diront qu'ils la sentait venir, cette fin, mais mon côté naïf a dû refouler cette éventualité) Loin des happy-end qu'on voit souvent dans la littérature jeunesse, la nature reprend ici ses droits, dans une chute comico-dramatique. Car peut-on renier sa propre nature, même par amour ?
La vie peut-être cruelle !
Lien : http://feuilletine.canalblog..
Les illustrations sont très attirantes : des teintes vives, une bonne dose d'humour, des personnages attachants dessinés tout en rondeur... (Mention spéciale à la bouille sympathique de la chenille).
La promesse tire également son originalité de son sens de lecture. L'album se présente sous un format ique, mais il se lit à la verticale. La page du haut représente le monde de la chenille, la page du bas le monde aquatique du têtard. La pliure de la page symbolise la surface de l'eau, frontière des deux univers. Une petite astuce de mise en page qui sépare encore un peu plus les deux amoureux.
Mais surtout, c'est la chute finale surprenante qui démarque la Promesse des autres albums. (Certaines personnes de mon entourage diront qu'ils la sentait venir, cette fin, mais mon côté naïf a dû refouler cette éventualité) Loin des happy-end qu'on voit souvent dans la littérature jeunesse, la nature reprend ici ses droits, dans une chute comico-dramatique. Car peut-on renier sa propre nature, même par amour ?
La vie peut-être cruelle !
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