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Critique de tousleslivres


Après avoir tellement aimé Black Out lu dans le cadre d'une LC en novembre dernier, je m'étais dite que lire « Sans parler du chien » serait une très belle idée. Et bien j'en ressort avec un avis beaucoup moins enthousiaste qu'avec ma première lecture.

Nous sommes toujours dans le thème des voyages dans le temps à but d'observation et de versifier l'histoire, comme ici aller dans le passé pour récolter un maximum d'informations sur un édifice détruit par un raid aérien nazi en 1940.

L'histoire : Après plusieurs voyages temporels, Ned Henry, se voir être obligé de se reposer, en effet, plusieurs semaines se sont passées et pas moins de 18 voyage temporels l'on totalement épuisé. Contre toute attente, Ned va aller se reposer, sur le bon conseil du professeur Dunworthy à l'époque victorienne. le thé servi sous un saule dans de tasses fines en compagnie de filles en robe blanche, servi par un majordome obséquieux prêt à satisfaire le moindre de ses caprices.
Ned arrive comme convenu, mais comme il n'est pas dans une forme olympique, à son arrivée, il s'aperçoit qu'il ne se rappelle plus le nom de son contact en 1888. de plus, il doit avoir une mission avant de prendre son congé forcé, mais là aussi, ses souvenirs sont très flous. Il ne sait plus ce qu'il doit faire... Par le plus grand des hasard, il va tout de même retrouver Verity Kindle, ils sont tous 2 historiens et effectuent de nombreux voyages dans le temps. Elle a sauvé un chat de la noyade et rapporté de cette époque victorienne, une chatte : Princesse Arjumand, ce qui est tout à fait impossible. Il est interdit de transférer quoi que se soit du passé vers l'avenir...

On s'aperçoit assez vite que Ned va devoir remettre l'histoire dans l'ordre étant donné que la disparition du chat à fait que sa propriétaire n'a pas rencontré son futur mari. le seul indice sur lequel Ned va pouvoir appuyer sa recherche est la lettre C du début du nom de ce futur « Monsieur C » que cette femme doit absolument rencontrer, si non la faille temporelle ne se refermera pas. Mais, Ned s'aperçoit aussi qu'à cause de cette faille, il n'est pas arrivé le 8 juin, mais le 10 juin, 3 jours en retard et avec 40 milles de décalage avec son lieu de destination et avec encore plus de déphasage. Il s'aperçoit aussi le court de l'histoire peut changer jusqu'à faire gagner la guerre à Hitler...

J'ai trouvé que ce livre, écrit en 1999, pouvait être un préliminaire à Black Out... Je ne voulais pas faire de comparaison, mais je suis obligé de la faire. J'ai comme l'impression que l'auteur, Connie Willis, a fait un premier essai avec « Sans parler du chien » et qu'elle a revue sa copie avec Black Out. Quoi que, on pourrait tout à fait dire que Black Out pourrait être une suite...

Ce que je reproche à cet opus c'est le manque d'explication. En effet, si on n'a pas lu Black Out et qu'on ne connaît ni le style de l'auteur, ni le milieu dans lequel elle va nous conduire, l'acclimatation au contexte ne doit pas être évident. Dans Black Out, Connie Willis passe pas mal de temps à explique à quoi servent les voyages dans le temps. Elle donne plus de temps au lecture pour s'habituer au thermes utilisés comme : continuum, incongruité … de plus, j'ai trouvé que l'histoire était assez complexe, de plus nécessite une attention très forte et assidue, si non, vous serez vite largué.

Si non, j'ai aimé le contexte et l'époque victorienne. J'ai totalement adoré les personnages animaliers comme le bouledogue Cyril, la chatte Princesse Arjumand, des ryunkins nacrés, des cygnes belliqueux et des pigeons revanchards. Mon préféré va vers Cyril !!! je l'ai adoré !!!
Lien : http://tousleslivres.canalbl..
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