AccueilMes livresAjouter des livres
Découvrir
LivresAuteursLecteursCritiquesCitationsListesQuizGroupesQuestionsPrix BabelioRencontresLe Carnet
>

Critique de Henri-l-oiseleur


Apercevant ce volume dans mes rayonnages, je me suis rendu compte que je l'avais lu sans en garder le moindre souvenir. Eh bien, l'oubli a ses avantages, car en relisant les nouvelles qu'il contient, j'ai retrouvé l'ambiance et les personnages attachants d'une ville, Toronto, qui joue le rôle d'un être à part entière, et assume même le rôle du héros dans une des histoires, dont Neil Gaiman a dû se souvenir pour sa Londres alternative. le talent de Wilson se manifeste vraiment plus dans sa peinture des personnages, variés, attachants et toujours intéressants, que dans la technologie ou les théories de SF (d'ailleurs, la nouvelle la plus marquée par la tradition SF, "Divisé par l'infini", m'a aussi paru la moins bonne). Il excelle vraiment dans la suggestion de réalités enfouies sous le quotidien, comme dans "Le miroir de Platon" ou "La ville dans la ville". En somme, une très agréable lecture.
Commenter  J’apprécie          90



Ont apprécié cette critique (7)voir plus




{* *}