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Critique de Josephine2


On est en plein mai 1968. On retrouve toute la petite famille FARKAS. Chaque membre de la famille est raconté par Franz ainsi que l'âme de la Maison de Tilliers. Franz, Jeune ado, complexé par son acné, continue à observer les uns et les autres, ainsi que lui-même.

Comme pour le premier opus, j'ai aimé cette histoire, qui me rend nostalgique, bien que je sois trop petite à l'époque de mai 68. Mais le contexte, l'ambiance, les questionnements, tout me reporte à ma jeunesse. D'accord, la vie n'était pas facile à l'époque mais il y avait tellement d'espérance, de possibilité. Les gens étaient moins déprimés et savaient profiter du moindre moment de plaisir. Ils étaient beaucoup plus insouciants.

Martin WINCKLER réussit à décrire cette époque avec brio, sans rien cacher des problèmes de l'époque, notamment les rapports avec l'Algérie. Cependant, j'ai trouvé des redites En cela, je rejoins la critique de Canel. Notamment, en ce qui concerne le coma de Franz. Et je trouve Franz un peu trop mature et trop sage. Bien sûr Martin WINCKLER est plein d'humanité envers tous ses personnages et notamment les femmes.

Un bon moment tendre que je vous recommande.
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